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En un mot : La bataille de Sikasso

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A quelques huit mois de la présidentielle de 2018, la bataille a déjà commencé un peu partout dans le pays, mais c’est plus corsé à Sikasso, premier bastion électoral du pays où le président de la République pourrait connaître de sérieuses difficultés face à son ancien allié et actuel maire de la capitale de la 3e région , Kalfa Sanogo, candidat déclaré à l’Adema. Avec plus de 60% des suffrages lors des municipales de novembre 2016 et cela malgré la grosse artillerie déployée par plusieurs ministres, l’ancien PDG de la CMDT a démontré que le Kénédougou est désormais sous son contrôle. C’est ce que les partisans d’IBK veulent démentir avec la visite de 72 heures entamées hier par le chef de l’Etat. Rien que 400 millions de FCFA, jurent certaines personnes, ont été décaissés pour impressionner à Sikasso et donner l’impression qu’IBK est au contrôle. En tous cas, tout Bamako, des politiques aux hommes d’affaires, s’est déplacé laissant peu de places aux locaux qui ne pourraient que s’offusquer de l’envahissement d’opportunistes de tous poils, les mêmes qui étaient des voyages d’ATT il y a quelques années.

DAK

En un mot bataille Sikasso

 

Source: L’Indicateur Du Renouveau

A quelques huit mois de la présidentielle de 2018, la bataille a déjà commencé un peu partout dans le pays, mais c’est plus corsé à Sikasso, premier bastion électoral du pays où le président de la République pourrait connaître de sérieuses difficultés face à son ancien allié et actuel maire de la capitale de la 3e région , Kalfa Sanogo, candidat déclaré à l’Adema. Avec plus de 60% des suffrages lors des municipales de novembre 2016 et cela malgré la grosse artillerie déployée par plusieurs ministres, l’ancien PDG de la CMDT a démontré que le Kénédougou est désormais sous son contrôle. C’est ce que les partisans d’IBK veulent démentir avec la visite de 72 heures entamées hier par le chef de l’Etat. Rien que 400 millions de FCFA, jurent certaines personnes, ont été décaissés pour impressionner à Sikasso et donner l’impression qu’IBK est au contrôle. En tous cas, tout Bamako, des politiques aux hommes d’affaires, s’est déplacé laissant peu de places aux locaux qui ne pourraient que s’offusquer de l’envahissement d’opportunistes de tous poils, les mêmes qui étaient des voyages d’ATT il y a quelques années.A quelques huit mois de la présidentielle de 2018, la bataille a déjà commencé un peu partout dans le pays, mais c’est plus corsé à Sikasso, premier bastion électoral du pays où le président de la République pourrait connaître de sérieuses difficultés face à son ancien allié et actuel maire de la capitale de la 3e région , Kalfa Sanogo, candidat déclaré à l’Adema. Avec plus de 60% des suffrages lors des municipales de novembre 2016 et cela malgré la grosse artillerie déployée par plusieurs ministres, l’ancien PDG de la CMDT a démontré que le Kénédougou est désormais sous son contrôle. C’est ce que les partisans d’IBK veulent démentir avec la visite de 72 heures entamées hier par le chef de l’Etat. Rien que 400 millions de FCFA, jurent certaines personnes, ont été décaissés pour impressionner à Sikasso et donner l’impression qu’IBK est au contrôle. En tous cas, tout Bamako, des politiques aux hommes d’affaires, s’est déplacé laissant peu de places aux locaux qui ne pourraient que s’offusquer de l’envahissement d’opportunistes de tous poils, les mêmes qui étaient des voyages d’ATT il y a quelques années.

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