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Education : Les enseignants ont désormais un statut particulier

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Education enseignants désormais statut particulier

 

Plus de cinq milliards F CFA, c’est le montant de l’incidence financière du nouveau statut des enseignants du secondaire, du fondamental et de l’éducation préscolaire.

Cela fait plus d’une semaine que le secteur de l’éducation est paralysé par un mouvement de grève déclenché par un collectif de syndicats. Pour sauver l’année scolaire les autorités nationales ont décidé de convoquer une session extraordinaire de l’Assemblée nationale avec comme ordre du jour l’adoption du Statut particulier réclamé par les grévistes.

Ainsi, la semaine dernière, en session plénière, les députés ont adopté le texte à l’unanimité de 124 voix pour, zéro contre et zéro abstention. Malgré cette volonté manifeste du gouvernement, les enseignants refusent de suspendre leur mot d’ordre de grève tant que la loi ne serait pas promulguer. Plusieurs associations et même le Conseil national de la société civile ont exhorté les syndicats à retourner en classe ce matin. Jusqu’à notre mise sous presse, c’était le statuquo. Les enseignants campent toujours sur leurs positions, car pour eux l’Etat n’est pas digne de confiance.

La Rédaction

Education enseignants désormais statut particulier

 

Source : Azalai-Express

Plus de cinq milliards F CFA, c’est le montant de l’incidence financière du nouveau statut des enseignants du secondaire, du fondamental et de l’éducation préscolaire.

Cela fait plus d’une semaine que le secteur de l’éducation est paralysé par un mouvement de grève déclenché par un collectif de syndicats. Pour sauver l’année scolaire les autorités nationales ont décidé de convoquer une session extraordinaire de l’Assemblée nationale avec comme ordre du jour l’adoption du Statut particulier réclamé par les grévistes.

Ainsi, la semaine dernière, en session plénière, les députés ont adopté le texte à l’unanimité de 124 voix pour, zéro contre et zéro abstention. Malgré cette volonté manifeste du gouvernement, les enseignants refusent de suspendre leur mot d’ordre de grève tant que la loi ne serait pas promulguer. Plusieurs associations et même le Conseil national

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