Interrogé par un confrère de l’Ortm sur le sort reservé au dossier ATT, le ministre de la justice Mamadou Ismaël Konaté n’a plus que rien dit. Faut-il aller jusqu’à penser que Me Konaté qui se lance trop vite dans le commentaire, ignore de trop sa matière qui est la justice ? Apparemment !
Tenez bien : le ministre Konaté pour apporter la réponse à la question qui lui a été posée, a rétorqué qu’il ne détient aucun dossier concernant l’ancien Président. Une telle réponse aussi simple qu’elle puisse paraitre, a surpris plus d’un, alors qu’en réalité, le dossier concernant ATT relève de la compétence de la Haute Cour de Justice, qui a été saisie par le Gouvernement dont le ministère de la Justice est membre.
Autrement dit, le ministre de la Justice apparait dans pareil cas comme « le plaignant ». Bien entendu que la Haute Cour est une Institution indépendante à part entière.
Ceci étant connu parce que nul n’est censé ignorer la loi, l’avocat de ministre aurait pu tout simplement éviter ces déclarations qui ne servent qu’à alimenter la polémique, et indiquer les limites de ses compétences, même étant Garde des Sceaux.
Pis, dans le même égarement, Me Konaté excelle dans le commentaire : il fait croire à son interlocuteur que l’ancien Président ATT est un citoyen comme les autres et qu’il est libre d’aller et de revenir comme il veut. Ce qui est inexact car le statut d’ATT est loin de celui d’un citoyen ordinaire. La constitution lui garantit à vie, des mesures de sécurité exceptionnelles, et une prise en charge bien meilleure que celle d’un apprenti de Sotrama.
Autrement dit, Me Konaté qui aurait pu éviter ce sujet qui ne l’engage qu’en cas de procès, devrait au moins nous donner les leçons de Droit en nous disant, sans complaisance, ce que l’Etat doit prendre en termes de préalables, afin qu’ATT regagne dignement sa patrie. A quelques exemples près, on peut lorgner le logement d’ATT, annexé par Ladji Bourama qui prétend y accueillir des hôtes au cours du sommet qui risque de plonger de grosses pointures dans un coma profond.
Interrogé par un confrère de l’Ortm sur le sort reservé au dossier ATT, le ministre de la justice Mamadou Ismaël Konaté n’a plus que rien dit. Faut-il aller jusqu’à penser que Me Konaté qui se lance trop vite dans le commentaire, ignore de trop sa matière qui est la justice ? Apparemment !
Tenez bien : le ministre Konaté pour apporter la réponse à la question qui lui a été posée, a rétorqué qu’il ne détient aucun dossier concernant l’ancien Président. Une telle réponse aussi simple qu’elle puisse paraitre, a surpris plus d’un, alors qu’en réalité, le dossier concernant ATT relève de la compétence de la Haute Cour de Justice, qui a été saisie par le Gouvernement dont le ministère de la Justice est membre.
Autrement dit, le ministre de la Justice apparait dans pareil cas comme « le plaignant ». Bien entendu que la Haute Cour est une Institution indépendante à part entière.
Ceci étant connu parce que nul n’est censé ignorer la loi, l’avocat de ministre aurait pu tout simplement éviter ces déclarations qui ne servent qu’à alimenter la polémique, et indiquer les limites de ses compétences, même étant Garde des Sceaux.
Pis, dans le même égarement, Me Konaté excelle dans le commentaire : il fait croire à son interlocuteur que l’ancien Président ATT est un citoyen comme les autres et qu’il est libre d’aller et de revenir comme il veut. Ce qui est inexact car le statut d’ATT est loin de celui d’un citoyen ordinaire. La constitution lui garantit à vie, des mesures de sécurité exceptionnelles, et une prise en charge bien meilleure que celle d’un apprenti de Sotrama.
Autrement dit, Me Konaté qui aurait pu éviter ce sujet qui ne l’engage qu’en cas de procès, devrait au moins nous donner les leçons de Droit en nous disant, sans complaisance, ce que l’Etat doit prendre en termes de préalables, afin qu’ATT regagne dignement sa patrie. A quelques exemples près, on peut lorgner le logement d’ATT, annexé par Ladji Bourama qui prétend y accueillir des hôtes au cours du sommet qui risque de plonger de grosses pointures dans un coma profond.
Source:Le Soft