Quelques semaines avant de quitter son poste de chef de la diplomatie américaine, John Kerry tente encore de ramener la paix au Proche-Orient.
Le secrétaire d’état américain pense que c’est pour lui un devoir de montrer ce qui pour lui est la voie de résolution du conflit entre Israël et la Palestine. La première fois depuis 1979, les États-Unis n’ont pas opposé leur droit de véto à une résolution de l’Organisation des Nations Unies. Celle-ci condamne les colonies israéliennes.
Les États-Unis, qui sont le plus important allié d’Israël, ont traditionnellement servi de bouclier diplomatique à l’État hébreu mais, cette fois-ci, ils sont frustrés par toutes ces années d’efforts diplomatiques qui se sont soldées par des échecs. Ils ont justifié cette abstention en évoquant l’impact négatif de la colonisation sur la recherche et le maintien de la paix dans le Proche-Orient.
« Une résolution contre Israël »
Le texte adopté vendredi par le Conseil de sécurité de l’ONU exhorte Israël à « cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation en Territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est » et affirme que les colonies « n’ont pas de valeur juridique ».
Les États-Unis, qui sont le plus important allié d’Israël, ont traditionnellement servi de bouclier diplomatique à l’État hébreu mais, cette fois-ci, ils sont frustrés par toutes ces années d’efforts diplomatiques qui se sont soldées par des échecs. Ils ont justifié cette abstention en évoquant l’impact négatif de la colonisation sur la recherche et le maintien de la paix dans le Proche-Orient.
« Une résolution contre Israël »
Le texte adopté vendredi par le Conseil de sécurité de l’ONU exhorte Israël à « cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation en Territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est » et affirme que les colonies « n’ont pas de valeur juridique ».
Source: Afrimag