Nous venons de boucler l’année 2016. Bilan, difficile à avancer du bien au regard des faits qui l’on émaillé. La grogne sociale s’est davantage accentuée au regret du non accomplissement par le Président de la République des promesses tenues. Au contraire, les deux années précédentes valent encore mieux.
Malgré cette situation désespérante semée par le régime IBK, certains croient en de lendemain meilleur d’ici 2018. Ils croient en l’amour d’IBK pour ce pays et enfin ils sont convaincus que la situation pourrie qui prévaut ne relève pas de la responsabilité d’IBK mais son entourage. Les hommes en qui il a placé sa confiance pour accomplir à hauteur de souhait sa fonction du Président de la République. ‘’IBK n’en est pour rien’’. Cette phrase, elle fait mal. Du moins pour tout patriote convaincu qui a l’amour de ce pays et est prêt à céder son âme au prix d’un Mali émergent.
Ibrahim Boubacar Keïta, sa gestion du Mali n’est synonyme qu’à la traversée de l’enfer. Il brise l’espoir, détruit les acquis laissés par ses prédécesseurs et fait du Mali et des Maliens les derniers de ses soucis. Ses discours aux élans de patriote sans effets immédiats sur le changement en témoignèrent largement.
Les gestes émotionnels, ils n’ont plus de place dans le cœur du peuple malien. Ce peuple qui a accepté la résignation pendant longtemps pour le respect de nos valeurs sociétales a enfin compris parce que les politiques de cette époque, qui gouvernent, prennent le peuple malien pour des crétins. Et voilà la simple raison du réveil citoyen pour sauver ce qui reste du Mali.
La détermination est absolue et la cible, ce n’est ni X. ou Y. mais c’est bien le Chef de l’Etat Ibrahim Boubacar Keïta. Il est le Président de tous les Maliens. Il a été élu à 77% pour sauver l’honneur du Mali et au bout du compte, il a été l’assassin du peu qui nous reste.
Le malheur du Mali, l’on ne peut nullement occulter sa responsabilité car quand ça ne va pas dans une famille, il n’y a pas de raison d’accuser un membre mais bien sûr le chef de famille. Ce statut pour le Mali, IBK est le seul détenteur légitime. Il a montré ses limites malgré toutes ses années passées dans les grandes instances de l’administration malienne, et l’homme à poigne n’était qu’une stratégie pour bénéficier de la pitié du peuple malien.
Kidal s’éloigne, l’insécurité bat son plein dans tout le Mali, le chôme augmente, nos compatriotes de la diaspora sont trahis…
Nos gouvernants d’aujourd’hui ont failli et ne méritent aucune estime. Et leur place, c’est bien devant la justice pour avoir trahi le serment et par-delà la Nation toute entière.
2017, la bataille s’annoncera rude. Mais, le Mali tiendra et se relèvera…
Source: Le Pays