Si tout va comme prévu, Bamako abritera le 27ième sommet France-Afrique du 13 au 14 janvier 2017. A cet effet, 35 Chefs d’Etats et de Gouvernements sont attendus, même si l’on nous signale que pour des raisons de sécurité, la majorité de ces dirigeants étrangers préfèrent passer la nuit à Ouagadougou ou à Dakar pour revenir tôt le matin à Bamako.
Hormis cette réalité qui entache la sincérité des travaux durant ce sommet, il y a une autre situation que le pourvoir de Bamako tente de cacher : En vérité, le Mali est un pays physiquement et socialement divisé.
Depuis trois ans aux affaires, le Président Ibrahim Boubacar Keïta n’a pu poser aucun acte concret tendant à redonner au Mali son intégrité territoriale. Cela malgré la signature en grande pompe d’un accord entre le Gouvernement et les mouvements rebelles et terroristes déguisés en patriotes en juin 2015.
Au sud du pays, notamment à Bamako où tout doit se jouer ce week-end, le courant passe mal entre le régime et les opposants de Bamako et une importante frange de la société civile qui eux, ne demandent que la tenue d’une conférence d’entente nationale pour participer à la reconstruction institutionnelle et sociale du pays.
Dans les rues de Bamako où l’on ignore encore mal ce que va apporter le sommet au quotidien des Maliens, les citoyens restent indécis.
Du moins, pour les plus avertis des Maliens, il faut juste espérer qu’il y ait un après-sommet. Que les 35 milliards FCFA engloutis dans ce festival ne soient pas partis en fumée. Des sommes qui selon eux, auraient pu être injectées dans l’économie pour entamer des initiatives de création de richesses et d’emplois…
Madick Niang, pour malizine
Des bouts de phrase laissent entrevoir une certaine mauvaise foi quand à l’information du bas peuple. Nous ne devons plus accepter des articles en bref qui nous mettent dans le doute et qui donne l’occasion aux detracteurs de fabriquer des rumeurs pour tromper l’opinion des masses.
A mon avis les chefs de file des oppositions de tous les pays devaient participer à ces sommets, au même titre que les chefs d’état; principalement les opposants du pays organisateurs. Cela pour la transparence.
Des bouts de phrase laisse entrevoir une certaine mauvaise foi quand à l’information du bas peuple. Nous ne devons plus accepter des articles en bref qui nous mettent dans le doute et qui donne l’occasion aux detracteurs de fabriquer des rumeurs pour tromper l’opinion des masses.
A mon avis les chefs de file des oppositions de tous les pays devaient participer à ces sommets, au même titre que les chefs d’état; principalement les opposants du pays organisateurs. Cela pour la transparence.
ALLAH NOUS PROTÈGERA INSHALLAH
SOYONS POSITIFS, AN GA LIMANIYA
QUAND LE MOMENT DE LA MORT ARRIVE NUL NE PEUT Y ÉCHAPPER OU QU’IL SOIT: BAMAKO OU AILLEURS
QU’ALLAH NOUS ACCOMPAGNE, AMEN INSHALLAH