Pour sa contribution à la réussite du sommet Afrique-France du 13 au 14 janvier 2017, le ministère de la Réconciliation nationale opte pour des actions de communication en faveur de la paix.
Evénement de grande envergure, le Sommet Afrique-France sera surtout un espace de partage et d’échanges. C’est pourquoi le ministère de la Réconciliation nationale a eu l’ingénieuse idée de mettre à la disposition de participants des documents qui font la promotion de la paix. Dans ce cadre, plusieurs supports de communication ont été élaborés en faveur de la paix et la réconciliation dans notre pays.
Des brochures, dépliants et autres activités connexes permettent aux invités de saisir les contours de la paix qui se dessine dans le Mali.
Outre la publication de l’accord en brochure détaillée, le ministère a fait installer des banderoles qui retracent le chemin qu’a emprunté notre pays dans la recherche d’une paix durable. “L’accord pour la paix et la réconciliation nationale au Mali, socle de la cohésion sociale et la stabilité” ou “Engageons-nous pour un Mali de paix dans la diversité”, peut-on lire sur le message.
Pour une meilleure appropriation de l’accord, un guide est disponible et il retrace en 20 questions-réponses le contenu de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale.
Dans l’esprit du département de la Réconciliation, il faut être en phase avec les ambitions du Sommet Afrique-France dont le thème principal est “pour le partenariat la paix et l’émergence”.
Lors de ce sommet à Bamako, les dirigeants vont matérialiser à nouveau leur volonté d’accompagner notre pays à renforcer le processus de réconciliation nationale déjà enclenché au bénéfice des communautés.
D’ores et déjà, notre pays peut targuer d’avoir réussi à mettre en place plusieurs mécanismes en faveur de la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale. Dans ce domaine, la création et l’opérationnalisation de la Commission vérité, justice et réconciliation et du Comité national de coordination de la mise en œuvre de l’accord.
L’existence d’un véritable dialogue social à travers les rencontres intra et intercommunautaires est à mettre à l’actif du ministère de la Réconciliation. Ces actions sont soutenues par la mise en œuvre des microprojets de résilience.
En perspectives, il est attendu la création de la Mission d’appui à la réconciliation nationale et l’organisation en mars de la Conférence d’entente nationale.
Source: L’indicateur De Renouveau