Il est de coutume que lorsque des Chefs d’Etats africains se réunissent en sommet, la parole soit donnée aux doyens. Cette tradition qui est un symbole en Afrique a su s’appliquer à l’occasion de tous les sommets tenus sur le contient depuis les années des indépendances.
Mis à part, à Bamako où s’est tenu le 27ième sommet Afrique-France ce dimanche, les Chefs d’Etats africains invités se sont vus traités comme des enfants, tellement le Sommet a été personnalisé dans ses différentes phases.
Même au huis clos, une indiscrétion révèle que les sujets débattus étaient triés par le Président malien et son homologue français.
La parole n’est revenue qu’à six Chefs d’Etats : Il s’agit du Nigérien Issoufou, du Nigérian Buhari, du Congolais Sassou, du Français Hollande, du burkinabé Rock Marck et du Malien IBK, non moins hôte des Chefs d’Etats et de Gouvernements.
Contrairement à ce que croyaient voir bon nombre de Maliens et Africains, Robert Mugabe n’a pas eu droit à la parole alors qu’il en avait fait demande. Chose qui l’a poussé à ne pas se prononcer lors du huis clos.
Pour Mugabé qui réfusa de parler lors du huis clos, lui, il s’adresse à tout le monde ou il ne parlera point.
Cependant, il nous est revenu que si le protocole malien a refusé de donner la parole au doyen des Chefs d’Etats africains c’est parce que ses propos allaient être gênants pour le Président français, craint par certains Président à l’image d’IBL lui-même.
Autrement, nul ne pouvait prévoir ce que dirait Mugabe sur l’avenir que les Etats africains devaient adopter avec la France, un pays qui a voté la loi du mariage pour tous, alors que Mugabe est homophobe (contre l’homosexualité).
Madick Niang, pour malizine
Après avoir écrit vos publications prenez le temps de lire et relire, sinon quelques fautes inattentions peuvent transformer le sens des mots.
On voit bien que mentalement nos chef d’Etat ne sont pas décolonisé. La primogéniture vient d’être foulée au pied. Cela est indigne. La parole n’a été donnée qu’aux chef de provinces aux laquais de la france pour qui sans ce pays rien de bon n’arrivera en Afrique. Mugabé et Kagamé devaient parler. En réalité c’est le sommet France et et ses esclavezs. Par solidarité, par collégialité Omar el Béchir devait être de la rencontre. Tant que le sommet n’est pas inclusif qu’on enlève le nom de notre continent
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Cela est loin d’être une surprise pour moi et pour les hommes avertis. Robert a été accueilli à l’aéroport par qui ? Est ce que le protocole a mesuré cette bourde, Mugabe ne mérite pas plus d’honneur sur une terre africaine que François. Donc il est tant pour nous africain d’arrêter de courir derrière les européens de donner plus de valeur aux ressources africaines comme le plus diplômé de tous les chefs d’État du monde qu’il est Robert.