Nos confrères de koaci dans une publication du mardi 17 janvier 2017, ont annoncé que des tirs à l’arme lourde ont été entendus dans la commune d’Abobo au niveau du camp commando, ajoutant que les tirs nourris à la »kalachnikov » ont duré pendant deux heures de temps.
A en croire notre source, il n’est pas possible pour le moment de donner les véritables raisons qui pourraient expliquer ces tirs entendus aux alentours du Camp commando et de la cité policière d’Abobo.
À cause de la violence des tirs, les couche-tard dans les maquis du quartier Sogefhia se sont pressés de regagner le gîte familial. Les tirs qui semblent désormais se déplacer au niveau du commissariat du 15ème arrondissement et, de la grande gare d’Abobo ressemblent à une course-poursuite, comme constaté.
L’on se souvient que c’est samedi dernier que la mutinerie de Bouaké est arrivée à son terme après la signature des accords et la prise en compte des revendications des militaires. C’est au président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro que le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara avait confié le soin de régler ce dossier. Et visiblement, la réussite a été au rendez-vous. Pour l’heure, l’on ne sait pas si ces tirs entendus à Abobo sont une suite logique de la mutinerie qui avait eu lieu à Bouaké. Notre rédaction reviendra un peu plus en détail sur les véritables causes de ces tirs à l’arme lourde
Source: Afrikmag