MA TOUTE PREMIERE REACTION SUITE A MON ENLEVEMENT ET AU COMMUNIQUE DE L’ASSEMBLEENATIONALE.
Après le communiqué télévisé de l’Assemblée Nationale, le Figaro du Mali en prend acte et met au défi l’honorable Moussa Timbiné et toute la République à citer les éventuels complices à l’étranger qui auraient concouru à la publication de l’article .
Avec un communiqué plein de diversions , le Figaro reste et confirme le contenu de sa publication initiale. Le Figaro du Mali s’est déjà réservé le droit de publier d’autres actes loin du mensonge et du montage . Jusque là le Figaro du Mali n’a officiellement reçu aucun démenti.
L’Assemblée Nationale a fait quatre jours pour sortir un communiqué dans lequel ni opposition ni majorité n’ont condamné mon enlèvement. Et le Figaro du Mali se réserve le droit de porter plainte contre les auteurs et leurs commanditaires qui ne cherchaient la source de l’information . L’honorable Timbiné évoque l’absence de tout recoupement. Il m’est arrivé plusieurs fois de l’appeler en vain . Que Moussa Timbiné demande aux honorables combien de fois je suis passé à l’assemblée pour enquêter et demander . Ceux qui m’ont arrêté voulaient une présumée vidéo compromettante venue de l’Italie et les récents licenciements à l’hémicycle et les fameuses dents à 40.000.000
J’aime mon pays et je respecte l’Assemblée Nationale. Mon article n’a rien de méchant, il a été publié rien que pour moraliser la vie publique et avant toute diffusion, nos tentatives d’en parler avec le Président sont restées vaines.
Si l’institution se réserve le droit de porter plainte, je rappelle que nul n’est au dessus de la loi et je souhaiterais qu’il y ait une enquête parlementaire et que s’il y a procès, qu’il soit équitable.
Au Mali, mon article m’a montré dans ma jeune carrière qu’un éventuel délit peut être plus qu’un crime.
Malizine