Les mutations des fonctionnaires de police du corps des commissaires effectuées le 20 février 2017 par le directeur général Moussa Ag Infahi défrayent aujourd’hui la chronique dans le milieu. Le patron de la police est accusé d’avoir nommé des jeunes commissaires, très proches de l’ex- chef de la junte, Amadou Aya Sanogo. En fait, la plupart de ces agents sont devenus commissaires, après les événements du 22 mars 2012. Pour les mécontents, ces mutations sont illégales et pour d’autres, le directeur général Moussa Ag Infahi n’a fait que son travail, tout en respectant les textes.
Décidément, les mutations au niveau de la police nationale ne sont pas un exercice facile puisque tous les agents veulent être mutés. Ce qui a toujours créé du bruit entre le directeur général de la Police, Moussa Ag Infahi et son Adjoint. Selon nos informations, toutes les mutations au niveau de la police ont été, à 90%, proposées par le directeur général adjoint. La raison est très simple : il est censé connaitre tous les agents de la police.
Les mutations des fonctionnaires de police du corps des commissaires effectuées le 20 février 2017 par le directeur général Moussa Ag Infahi défrayent aujourd’hui la chronique dans le milieu. Le patron de la police est accusé d’avoir nommé des jeunes commissaires, très proches de l’ex- chef de la junte, Amadou Aya Sanogo. En fait, la plupart de ces agents sont devenus commissaires, après les événements du 22 mars 2012. Pour les mécontents, ces mutations sont illégales et pour d’autres, le directeur général Moussa Ag Infahi n’a fait que son travail, tout en respectant les textes.
Décidément, les mutations au niveau de la police nationale ne sont pas un exercice facile puisque tous les agents veulent être mutés. Ce qui a toujours créé du bruit entre le directeur général de la Police, Moussa Ag Infahi et son Adjoint. Selon nos informations, toutes les mutations au niveau de la police ont été, à 90%, proposées par le directeur général adjoint. La raison est très simple : il est censé connaitre tous les agents de la police.
Source: Aujourd’hui-Mali