GREVE ENSEIGNANTS SUPERIEUR Aïssetou déçoit encore IBK
Au-delà de son caractère sournois, la ministre Aissetou Founè Samaké Migan de l’enseignement supérieur s’est montrée incapable à gérer son département. Sa démission est désormais un impératif pour l’Etat, un facteur salvateur donc, pour une issue heureuse aux revendications des enseignants du supérieur, en grève illimitée depuis le mardi 4 avril 2017.
S’il y a un ministre du gouvernement Kéita qui doit illico presto rendre le tablier pour sauver le régime du président Ibrahim Boubacar Kéita, c’est bel et bien Mme Aissetou Founè Samaké Migan de l’enseignement supérieur.
En effet, le pouvoir d’Ibrahim Boubacar Kéita croupit depuis quelques mois sous les grèves à répétition, conduisant le pays au bord d’une révolution qui ne dit pas son nom. Si le pouvoir a pu éviter de justesse la paralysie du pays, en satisfaisant les revendications des magistrats, il tâtonne, voire moisit face aux grèves des agents de la santé, de l’enseignement fondamental et secondaire, qui ne demandent que l’amélioration de cadre de vie et de leurs conditions de travail.
Comme un malheur n’arrive jamais seul, Mme Aissetou Founè Samaké Migan aggrave la vie à un régime déjà à l’agonie. Celle que le président IBK a qualifiée de brillante dame lors de la Rentrée universitaire, est en fait une incapable et une championne dans la sournoiserie.
En clair, le Chef de l’Etat doit s’en rendre compte : Il a nommé à ce poste une dame qui n’a ni la capacité ni le courage de résoudre les problèmes de l’enseignement supérieur du Mali plus que jamais dans l’impasse.
D’abord, jusqu’ici, elle n’a pas pu résoudre les problèmes des bourses des étudiants maliens au Venezuela. L’Etat est une continuité, a-t-on l’habitude de dire. Telle n’est pas la maxime d’une ministre qui entretient un silence face aux cris de détresse des étudiants qui ne demandent qu’à être reconnus par l’Etat malien et avoir leurs billets d’avion pour les vacances 2017.
Comme un vipereau, car ayant accédé au cercle des dinosaures de la République, cette dame qui a passé toute sa vie en tant qu’enseignante, n’a pas pu sauver le pays d’une énième grève qui s’est annoncée imminente.
Sur les 7 points de revendications, principalement l’augmentation de la grille indiciaire à 3000, Mme Migan a ignoré ses ex-collègues, se morfondant dans des discours politiques. Or la raison voudrait que la ministre engage des pourparlers sérieux et prometteurs avec le comité syndical des enseignants du supérieur. Hélas, le pire est arrivé : Une année blanche plane sur les universités et grandes écoles du Mali par la faute de Mme Migan.
Il faute dire que cette grève illimitée des enseignants du supérieur est la preuve de l’incapacité du ministre de la tutelle qui a manqué de pédagogie pour faire comprendre aux enseignants la douleur des populations à cause des grèves dans le secteur de la santé ainsi que de l’école fondamentale et secondaire. Ce qui devrait suffire.
L’entrée des professeurs du supérieur dans ce bouillonnement social ne promet rien de bon pour le pays. Au contraire, elle le projette dans l’imbroglio. C’est désormais la grève générale illimitée qui pointe du nez, au point de cabosser, d’amocher et d’avachir le Mali, le maintenir dans le traquenard et le précipite vers le chaos.
Le remède primordial aux vicissitudes qui gangrènent le pouvoir d’IBK est et reste la démission de Mme Migan de ce poste de ministre de m’enseignement supérieur.
A bon entendeur !
GREVE ENSEIGNANTS SUPERIEUR Aïssetou déçoit encore IBK
DCA
Source: Le Soft
Je ne sais pas ce que vous avez contre madame le ministre pour expliquer ce acharnement mais moi j’ai trouvé qu’elle avait un programme de travail consistant et cohérent et son seul problème est relativement à la greve qui faut il le rappeler est un le problème d’argent or elle n’est pas ministre de l’économie ni des finances. Si dame Samaké est brillante n’en déplaise à qui que ce soit. Elle a toujours été brillante depuis le bas âge si vous ne savez pas. Je suis d’accord qu’il faut les negociations mais les syndicat d’enseignant savent bien que le pays a des problèmes: question de securité, greve de plusieurs autres syndicat mais ce n’est pas l’intervention de dame Samaké qui viendra changer leur volonté d’aller en greve devant les motifs que tu as donné , ils les con,naissant déjà. <il ya un problème d'argent que seul l'argent peut resoudre un point et celà ne vient aucunement mettre en cause la compétence ou l'intelligence de dame Samake