Grogne sociale IBK n’a pas apprécié position UNTM CSTM
Dans son discours lors du premier conseil des ministres avec l’équipe Abdouaye Idrissa Maïga, le Président de la République, IBK, a souligné son mécontentement quant à la stratégie adoptée par les centrales syndicales (UNTM, CSTM), l’ultimatum, pour résoudre la grogne sociale. IBK trouve que cette méthode n’est pas appropriée et il a d’ailleurs exhorté les centrales, même s’il ne les nomme pas, à faire une analyse plus cohérente de la situation afin de prendre de postures plus appropriées que cette position extrême face à des situations de ce genre.
L’Union Nationale des Travailleurs du Mali (UNTM) et la Confédération Syndicale des Travailleurs du Mali (CSTM) avaient animé une conférence de presse, la semaine passée, afin de dégager leur position au sujet des grèves qui paralysent le pays. Les deux centrales syndicales qui ont apporté leur soutien aux grévistes avaient lancé un ultimatum d’une semaine au gouvernement malien qui prendra fin demain.
La position a payé car le gouvernement après plusieurs tractations a finalement accepté les doléances des syndicats.
Grogne sociale IBK n’a pas apprécié position UNTM CSTM
La Rédaction
Source: Le Pays
Dans son discours lors du premier conseil des ministres avec l’équipe Abdouaye Idrissa Maïga, le Président de la République, IBK, a souligné son mécontentement quant à la stratégie adoptée par les centrales syndicales (UNTM, CSTM), l’ultimatum, pour résoudre la grogne sociale. IBK trouve que cette méthode n’est pas appropriée et il a d’ailleurs exhorté les centrales, même s’il ne les nomme pas, à faire une analyse plus cohérente de la situation afin de prendre de postures plus appropriées que cette position extrême face à des situations de ce genre.
L’Union Nationale des Travailleurs du Mali (UNTM) et la Confédération Syndicale des Travailleurs du Mali (CSTM) avaient animé une conférence de presse, la semaine passée, afin de dégager leur position au sujet des grèves qui paralysent le pays. Les deux centrales syndicales qui ont apporté leur soutien aux grévistes avaient lancé un ultimatum d’une semaine au gouvernement malien qui prendra fin demain.
La position a payé car le gouvernement après plusieurs tractations a finalement accepté les doléances des syndicats.