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LIBERTE DE LA PRESSE: Les jeunes journalistes à l’école des devoirs et responsabilité

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De Gauche à droite: Alexis Kalembry, Directeur de Publication du quotidien Les Echos (Mali) Mamadou Diarra, ancien journaliste sportif à l'Essor et Abdoulaye Barry
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Les activités de la semaine nationale de la liberté de la presse ont démarré à la maison de la presse de Bamako le mardi 2 mai et s’étendront jusqu’au 6 mai 2017.  Pour cette édition 2017, les doyens de la presse nationale, à l’intention des jeunes journalistes, animent des conférences-débats sur le thème : «journaliste et homme de médias: devoirs et responsabilité en période de crise».

Le 3 mai a été proclamée Journée mondiale de la liberté de la presse par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993, suivant la recommandation adoptée lors de la vingt-sixième session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991.

Au Mali, les hommes de medias ne sont pas restés en marge de cette célébration de la liberté de la presse, chèrement acquise en mars 91.

Plusieurs étudiants en journalisme et communication et les reporters des organes de presse de la place participent activement à la conférence-débat sur le métier de journalisme pour comprendre enrichir leur expérience.

A l’ouverture de la semaine nationale de la presse, le doyen Mamadou Diarra a donné des conseils à la jeune génération en ces termes :

« En rentrant dans la profession du journalisme, soyez droit, cesser d’accepter des cadeaux pour ne pas vous trouver entre le marteau et l’enclume un jour, il faut avoir l’estime de soi. En ce moment-là, vous avez la liberté d’écrire. Et une fois dedans, respecter l’éthique et la déontologie aussi. Bref, pour être droit, il faut armer votre propre personne».

La semaine nationale de la presse prendra fin le 6 mai  2017. Avant des débats sur « journalistes et hommes des médias : devoirs et responsabilités en période de crise », constituent une véritable matière sur laquelle les jeunes générations  bénéficient l’expérience des doyens.

I.T pour malizine

 

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