Emmanuel Macron Bamako attendre visite
Absolument rien. Pour la simple raison que le nouveau président vient uniquement remonter le moral des troupes françaises de l’opération Barkhane. Il ne faudrait s’attendre à aucun changement majeur de la part du nouveau président considéré par certains comme « le Fils spirituel de François Hollande ». « Félicitations, Hollande, pour votre réélection » avait twitté un Français après l’annonce de la victoire de Macron.
Le régime change en France, mais le « système » reste le même, du moins en matière de politique étrangère guidée par les seuls intérêts vitaux de la France, pilotée par les Services de renseignement. Ceux-là mêmes qui avaient programmé l’intervention française au Mali, bien longtemps avant la soi-disant « lettre de demande » du président Dioncounda Traoré.
Ainsi, comme François Hollande, Emmanuel Macron, déjà étiqueté d’ « arriviste » par ses détracteurs, ne parlera que de la nécessité de la mise en œuvre de l’Accord issu du processus d’Alger. Sur Kidal, le discours restera la même langue de bois. Bref, comme on l’a déjà dit, bonnet blanc, blanc bonnet.
Emmanuel Macron Bamako attendre visite
Source: Le Point
Absolument rien. Pour la simple raison que le nouveau président vient uniquement remonter le moral des troupes françaises de l’opération Barkhane. Il ne faudrait s’attendre à aucun changement majeur de la part du nouveau président considéré par certains comme « le Fils spirituel de François Hollande ». « Félicitations, Hollande, pour votre réélection » avait twitté un Français après l’annonce de la victoire de Macron.
Le régime change en France, mais le « système » reste le même, du moins en matière de politique étrangère guidée par les seuls intérêts vitaux de la France, pilotée par les Services de renseignement. Ceux-là mêmes qui avaient programmé l’intervention française au Mali, bien longtemps avant la soi-disant « lettre de demande » du président Dioncounda Traoré.
Ainsi, comme François Hollande, Emmanuel Macron, déjà étiqueté d’ « arriviste » par ses détracteurs, ne parlera que de la nécessité de la mise en œuvre de l’Accord issu du processus d’Alger. Sur Kidal, le discours restera la même langue de bois. Bref, comme on l’a déjà dit, bonnet blanc, blanc bonnet.