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En un mot : Lâcheté collective

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Jusqu’à la manifestation presque mondiale de la société civile, aucun président, ni opposant africain n’a daigné lever le petit doigt et condamner les exactions quotidiennement commises contre les jeunes Africains en Libye, injustement jetés sur les chemins de l’immigration par le désespoir créé par nos politiciens véreux. Le cas des dirigeants maliens dépasse l’entendement, car ils sont déjà écrasés par le poids des injustices faites à nos jeunes compatriotes par les voisins algériens. Même pas un petit communiqué pour s’en plaindre.

Il ne reste plus que la société civile pour dénoncer les traitements inhumains et dégradants dignes d’un autre âge auxquels sont soumis les Africains en Europe, en Libye et dans d’autres pays africains. Face à la lâcheté collective des dirigeants et opposants africains et le silence coupable des donneurs de leçons occidentaux, nous ne pouvons compter que sur la société civile pour interpeller et nous défendre.

“Quand l’homme noir respectera l’homme noir, personne ne marchera sur l’homme noir”, disait Malcom X. Et il a terriblement raison.

DAK

En un mot Lâcheté collective

 

Source: L’Indicateur Du renouveau

Il ne reste plus que la société civile pour dénoncer les traitements inhumains et dégradants dignes d’un autre âge auxquels sont soumis les Africains en Europe, en Libye et dans d’autres pays africains. Face à la lâcheté collective des dirigeants et opposants africains et le silence coupable des donneurs de leçons occidentaux, nous ne pouvons compter que sur la société civile pour interpeller et nous défendre.

“Quand l’homme noir respectera l’homme noir, personne ne marchera sur l’homme noir”, disait Malcom X. Et il a terriblement raison.

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