DOSSIER Affaire Amadou Haya Sanogo coaccusés l’attente procès
Novembre 2013, décembre 2014. Quatre ans après leur arrestation, le capitaine Amadou Haya Sanogo, auteur du coup d’État de 2012, et ses codétenus restent toujours en détention. Leurs proches s’activent depuis plusieurs semaines pour la tenue d’un jugement ou leur libération pure et simple. Ils prévoient des manifestations le 15 décembre prochain pour interpeller les autorités sur la détention « arbitraire » des accusés. Du côté des familles des victimes, l’impatience gagne aussi du terrain. Les deux parties demandent la tenue rapide d’un procès, qui n’est pas encore à l’ordre du jour.
Source: Mikado.fm
Novembre 2013, décembre 2014. Quatre ans après leur arrestation, le capitaine Amadou Haya Sanogo, auteur du coup d’État de 2012, et ses codétenus restent toujours en détention. Leurs proches s’activent depuis plusieurs semaines pour la tenue d’un jugement ou leur libération pure et simple. Ils prévoient des manifestations le 15 décembre prochain pour interpeller les autorités sur la détention « arbitraire » des accusés. Du côté des familles des victimes, l’impatience gagne aussi du terrain. Les deux parties demandent la tenue rapide d’un procès, qui n’est pas encore à l’ordre du jour.Novembre 2013, décembre 2014. Quatre ans après leur arrestation, le capitaine Amadou Haya Sanogo, auteur du coup d’État de 2012, et ses codétenus restent toujours en détention. Leurs proches s’activent depuis plusieurs semaines pour la tenue d’un jugement ou leur libération pure et simple. Ils prévoient des manifestations le 15 décembre prochain pour interpeller les autorités sur la détention « arbitraire » des accusés. Du côté des familles des victimes, l’impatience gagne aussi du terrain. Les deux parties demandent la tenue rapide d’un procès, qui n’est pas encore à l’ordre du jour.Novembre 2013, décembre 2014. Quatre ans après leur arrestation, le capitaine Amadou Haya Sanogo, auteur du coup d’État de 2012, et ses codétenus restent toujours en détention. Leurs proches s’activent depuis plusieurs semaines pour la tenue d’un jugement ou leur libération pure et simple. Ils prévoient des manifestations le 15 décembre prochain pour interpeller les autorités sur la détention « arbitraire » des accusés. Du côté des familles des victimes, l’impatience gagne aussi du terrain. Les deux parties demandent la tenue rapide d’un procès, qui n’est pas encore à l’ordre du jour.Novembre 2013, décembre 2014. Quatre ans après leur arrestation, le capitaine Amadou Haya Sanogo, auteur du coup d’État de 2012, et ses codétenus restent toujours en détention. Leurs proches s’activent depuis plusieurs semaines pour la tenue d’un jugement ou leur libération pure et simple. Ils prévoient des manifestations le 15 décembre prochain pour interpeller les autorités sur la détention « arbitraire » des accusés. Du côté des familles des victimes, l’impatience gagne aussi du terrain. Les deux parties demandent la tenue rapide d’un procès, qui n’est pas encore à l’ordre du jour.Novembre 2013, décembre 2014. Quatre ans après leur arrestation, le capitaine Amadou Haya Sanogo, auteur du coup d’État de 2012, et ses codétenus restent toujours en détention. Leurs proches s’activent depuis plusieurs semaines pour la tenue d’un jugement ou leur libération pure et simple. Ils prévoient des manifestations le 15 décembre prochain pour interpeller les autorités sur la détention « arbitraire » des accusés. Du côté des familles des victimes, l’impatience gagne aussi du terrain. Les deux parties demandent la tenue rapide d’un procès, qui n’est pas encore à l’ordre du jour.Novembre 2013, décembre 2014. Quatre ans après leur arrestation, le capitaine Amadou Haya Sanogo, auteur du coup d’État de 2012, et ses codétenus restent toujours en détention. Leurs proches s’activent depuis plusieurs semaines pour la tenue d’un jugement ou leur libération pure et simple. Ils prévoient des manifestations leDOSSIER Affaire Amadou Haya Sanogo coaccusés l’attente procès 15 décembre prochain pour interpeller les autorités sur la détention « arbitraire » des accusés. Du côté des familles des victimes, l’impatience gagne aussi du terrain. Les deux parties demandent la tenue rapide d’un procès, qui n’est pas encore à l’ordre du jour.