La situation, si elle n’est pas grave, est assez préoccupante. Des forces obscures tentent de modifier la réalité du pays par des campagnes d’intoxication et de désinformation. Elles veulent manipuler l’opinion en décrivant un Mali qui sombre et qui perd espoir. La réalité est tout-autre : le Mali va bien et se relève de son traumatisme. Il garde encore des séquelles, mais l’espoir est là. Le feu allumé par le président IBK n’est pas éteint et doit être entretenu contre les forces obscures dont le seul objectif, c’est de créer la peur dans l’esprit des populations pour pouvoir tromper. Le Rassemblement Pour le Mali (RPM), parti du président Ibrahim Boubacar Kéita, doit sonner le tocsin. Il lui revient de sonner la mobilisation autour du projet du président IBK, de le défendre contre l’intoxication, la désinformation, l’abus, la tromperie… Le RPM doit sortir de sa léthargie et porter haut l’espoir suscité par l’élection du président IBK en 2013. C’est à lui de sonner la révolte contre les pseudo-révolutionnaires antidémocrates qui ont surtout peur d’un deuxième mandat du président Kéita. Peur, parce qu’ils n’arrivent plus à vivre sur le dos de l’Etat ; peur, parce qu’ils ne peuvent plus voler l’Etat ; peur à cause de l’Etat de droit que tente d’instaurer le président IBK. Se réveiller et se battre ou rester endormi et être certain de perdre les élections à venir parce que l’intoxication aura pris le dessus…, C’est le défi que le RPM se doit de relever.
Tiémoko Traoré
Edito Sonner tocsin
Source: Le Pouce
des séquelles, mais l’espoir est là. Le feu allumé par le président IBK n’est pas éteint et doit être entretenu contre les forces obscures dont le seul objectif, c’est de créer la peur dans l’esprit des populations pour pouvoir tromper. Le Rassemblement Pour le Mali (RPM), parti du président Ibrahim Boubacar Kéita, doit sonner le tocsin. Il lui revient de sonner la mobilisation autour du projet du président IBK, de le défendre contre l’intoxication, la désinformation, l’abus, la tromperie… Le RPM doit sortir de sa léthargie et porter haut l’espoir suscité par l’élection du président IBK en 2013. C’est à lui de sonner la révolte contre les pseudo-révolutionnaires antidémocrates qui ont surtout peur d’un deuxième mandat du président Kéita. Peur, parce qu’ils n’arrivent plus à vivre sur le dos de l’Etat ; peur, parce qu’ils ne peuvent plus voler l’Etat ; peur à cause de l’Etat de droit que tente d’instaurer le président IBK. Se réveiller et se battre ou rester endormi et être certain de perdre les élections à venir parce que l’intoxication aura pris le dessus…, C’est le défi que le RPM se doit de relever.