Selon le président du Parena, Tiébilé Dramé, “il y a eu au moins 716 morts au Mali en 2017, dont près de 300 militaires maliens et des forces internationales. Plus de 2100 morts depuis le 4 septembre 2013. IBK et ses gouvernements ont échoué à stabiliser le Mali. L’alternance devient une impérieuse nécessité”.
“Un bilan macabre, un sinistre record pour notre pays qui allait connaître pire si le président de la République s’était entêté dans l’organisation de son référendum constitutionnel parce qu’il n’y avait pas au Mali que ‘l’insécurité résiduelle’”.
Comme quoi, le temps et les faits finissent toujours par donner raison à ceux qui défendent la vérité. Il est grand temps qu’on ouvre les yeux et qu’on arrête de penser qu’on est sorti de la crise. Et cette année sera sans nul doute cruciale pour notre avenir commun.
DAK
En un mot L’insécurité résiduelle n’a fait 716 morts Mali 2017
Source: L’Indicateur Du Renouveau
Selon le président du Parena, Tiébilé Dramé, “il y a eu au moins 716 morts au Mali en 2017, dont près de 300 militaires maliens et des forces internationales. Plus de 2100 morts depuis le 4 septembre 2013. IBK et ses gouvernements ont échoué à stabiliser le Mali. L’alternance devient une impérieuse nécessité”.
“Un bilan macabre, un sinistre record pour notre pays qui allait connaître pire si le président de la République s’était entêté dans l’organisation de son référendum constitutionnel parce qu’il n’y avait pas au Mali que ‘l’insécurité résiduelle’”.
Comme quoi, le temps et les faits finissent toujours par donner raison à ceux qui défendent la vérité. Il est grand temps qu’on ouvre les yeux et qu’on arrête de penser qu’on est sorti de la crise. Et cette année sera sans nul doute cruciale pour notre avenir commun.
Selon le président du Parena, Tiébilé Dramé, “il y a eu au moins 716 morts au Mali en 2017, dont près de 300 militaires maliens et des forces internationales. Plus de 2100 morts depuis le 4 septembre 2013. IBK et ses gouvernements ont échoué à stabiliser le Mali. L’alternance devient une impérieuse nécessité”.
“Un bilan macabre, un sinistre record pour notre pays qui allait connaître pire si le président de la République s’était entêté dans l’organisation de son référendum constitutionnel parce qu’il n’y avait pas au Mali que ‘l’insécurité résiduelle’”.
Comme quoi, le temps et les faits finissent toujours par donner raison à ceux qui défendent la vérité. Il est grand temps qu’on ouvre les yeux et qu’on arrête de penser qu’on est sorti de la crise. Et cette année sera sans nul doute cruciale pour notre avenir commun.