L’usage de la chicha devient de plus en plus inquiétant au Mali et plus précisément à Bamako, sans que les autorités ne lèvent le plus petit doigt pour protéger la jeunesse. En effet, fumer la chicha est devenu en quelques années un mode de consommation de tabac très à la mode jusque dans des boîtes de nuit et autres espaces de loisirs. D’ailleurs des endroits sont aménagés, des “chicha house “ pour permettre aux adeptes de venir s’intoxiquer. A cause de son aspect convivial, raconte-t-on (on partage le tabac autour d’une chicha) et le goût fruité des tabacs qu’il est possible de consommer, la chicha a rapidement conquis les couches jeunes, garçons et filles.
Appelée sous d’autres cieux narguilé, water-pipe ou hooka, la chicha comme on l’appelle au Mali, n’est pas moins dangereuse que la cigarette, contrairement à ce que l’on tente de faire croire aux consommateurs pour les embrigader dans une pratique nocive. En effet, l’appareil libère près de 4 000 substances chimiques (dont des métaux) mais aussi du monoxyde de carbone, avec pour conséquence une augmentation des risques de cancers (bouche, langue, lèvres, bronches, poumons, etc.), de bronchites chroniques et de problèmes cardio-vasculaires. Elle est également responsable d’emphysèmes pulmonaires (destruction des alvéoles) précoces et particulièrement graves, qui ne peuvent être traités que par greffe pulmonaire.
L’usage de la chicha devient de plus en plus inquiétant au Mali et plus précisément à Bamako, sans que les autorités ne lèvent le plus petit doigt pour protéger la jeunesse. En effet, fumer la chicha est devenu en quelques années un mode de consommation de tabac très à la mode jusque dans des boîtes de nuit et autres espaces de loisirs. D’ailleurs des endroits sont aménagés, des “chicha house “ pour permettre aux adeptes de venir s’intoxiquer. A cause de son aspect convivial, raconte-t-on (on partage le tabac autour d’une chicha) et le goût fruité des tabacs qu’il est possible de consommer, la chicha a rapidement conquis les couches jeunes, garçons et filles.
Appelée sous d’autres cieux narguilé, water-pipe ou hooka, la chicha comme on l’appelle au Mali, n’est pas moins dangereuse que la cigarette, contrairement à ce que l’on tente de faire croire aux consommateurs pour les embrigader dans une pratique nocive. En effet, l’appareil libère près de 4 000 substances chimiques (dont des métaux) mais aussi du monoxyde de carbone, avec pour conséquence une augmentation des risques de cancers (bouche, langue, lèvres, bronches, poumons, etc.), de bronchites chroniques et de problèmes cardio-vasculaires. Elle est également responsable d’emphysèmes pulmonaires (destruction des alvéoles) précoces et particulièrement graves, qui ne peuvent être traités que par greffe pulmonaire.
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Source: Aujourd’hui-Mali