Le président américain, Donald Trump, a condamné le Washington Post pour avoir publié un article sur une femme qui prétend qu’il l’aurait embrassée de force en 2006 dans le hall de la Trump Tower, où elle était employée, rapporte washingtonexaminer.
Dans un tweet, Donald Trump a apporté un démenti sur cette accusation, affirmant qu’une telle chose ne s’est jamais produite.
« Une femme que je ne connais pas et autant que je m’en souviens n’ai jamais rencontrée, dit en PREMIERE PAGE du Fake News Washington Post que je l’ai embrassée (pendant deux minutes) dans le hall de la Trump Tower il y a 12 ans. Cela n’a jamais eu lieu ! Qui ferait cela dans un lieu public avec des caméras de sécurité… », a écrit Donald Trump.
Dans un deuxième tweet, il a écrit : « Encore une fausse accusation. Pourquoi le Washington Post n’écrit pas sur les femmes qui acceptent de l’argent pour inventer des histoires me concernant ? L’une d’elle s’est faite rembourser son emprunt immobilier… ».
En fin 2017, Rachel Crooks, âgée de 35 ans, avait raconté sur un plateau de télévision que Donald Trump l’avait embrassée de force en 2006. A cette époque, la jeune dame avait 22 ans.
Crooks, candidate au Congrès de l’Ohio, est l’une des femmes qui ont accusé le président Trump d’inconduite sexuelle.
États-Unis Accusé d’harcèlement sexuel Donald Trump réagit
Source: Afrikmag