En un mot L’Onu épingle gouvernement groupes armés
Selon les spécialistes chargés du régime de sanctions relatif au Mali institué en septembre dernier par les Nations unies afin de faire pression sur les signataires de l’accord de Paix signé en 2015, dont l’exécutif malien, pour qu’ils appliquent leurs engagements, les choses n’avancent pas au Mali par la faute de tout le monde. Dans leur rapport remis récemment au conseil de sécurité, « à ce jour, aucune sanction contre un individu ou une entité n’a été prise et les experts n’en recommandent pas dans leur document intermédiaire », avance AFP qui a reçu copie. Qui rapporte aussi que « selon un diplomate s’exprimant sous couvert d’anonymat, le groupe d’experts “juge que toutes les parties sont responsables des retards actuels” à l’application de l’accord. Mais qu’à ce stade, qu’à ce stade, “le processus n’est pas bloqué à un point où aucune avancée ne pourrait plus être réalisée”, estime la même source. Comme quoi, on ne peut pas compter sur l’Onu pour mettre la pression sur les groupes armés pour respecter leurs engagements prévus dans l’accord de paix comme le désarmement et la démolition des combattants.
DAK
En un mot L’Onu épingle gouvernement groupes armés
Source : L’Indicateur Du Renouveau
Selon les spécialistes chargés du régime de sanctions relatif au Mali institué en septembre dernier par les Nations unies afin de faire pression sur les signataires de l’accord de Paix signé en 2015, dont l’exécutif malien, pour qu’ils appliquent leurs engagements, les choses n’avancent pas au Mali par la faute de tout le monde. Dans leur rapport remis récemment au conseil de sécurité, « à ce jour, aucune sanction contre un individu ou une entité n’a été prise et les experts n’en recommandent pas dans leur document intermédiaire », avance AFP qui a reçu copie. Qui rapporte aussi que « selon un diplomate s’exprimant sous couvert d’anonymat, le groupe d’experts “juge que toutes les parties sont responsables des retards actuels” à l’application de l’accord. Mais qu’à ce stade, qu’à ce stade, “le processus n’est pas bloqué à un point où aucune avancée ne pourrait plus être réalisée”, estime la même source. Comme quoi, on ne peut pas compter sur l’Onu pour mettre la pression sur les groupes armés pour respecter leurs engagements prévus dans l’accord de paix comme le désarmement et la démolition des combattants.