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En un mot : Quand le gouvernement gâche la fête des femmes

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En un mot Quand gouvernement gâche fête femmes

 

On est habitué aux bisbilles au sein des organisations féminines, mais pas au point d’empêcher la tenue comme il se doit de la fête internationale dédiée aux femmes comme c’est le cas cette année. La responsabilité de cet échec incombe au gouvernement. Il refuse de reconnaître le nouveau bureau de la Cafo validé par une décision du Tribunal de la Commune III.

Ainsi, l’exécutif se fait complice du ministre de la Promotion de la femme, de l’Enfant et de la Famille, juge et parti. Mme Traoré Oumou Touré pour la nommer, continue de tirer les ficelles, voulant coûte que coûte maintenir ces “femmes” de paille à la tête de la Coordination dont elle a été l’inamovible présidente jusqu’à sa nomination en qualité de ministre.

La complicité de l’Etat est poussée jusqu’à interdire à l’ORTM la couverture des activités du bureau reconnu, la chaîne publique assurant allégrement la médiatisation de celles du camp imposé par Mme le ministre pour assurer ses arrières et surtout les élections prochaines. Pour tous ces petits calculs, les autorités ont donc décidé de gâcher la fête des femmes. Dommage !

DAK

En un mot Quand gouvernement gâche fête femmes

 

Source : L’Indicateur Du Renouveau

On est habitué aux bisbilles au sein des organisations féminines, mais pas au point d’empêcher la tenue comme il se doit de la fête internationale dédiée aux femmes comme c’est le cas cette année. La responsabilité de cet échec incombe au gouvernement. Il refuse de reconnaître le nouveau bureau de la Cafo validé par une décision du Tribunal de la Commune III.

Ainsi, l’exécutif se fait complice du ministre de la Promotion de la femme, de l’Enfant et de la Famille, juge et parti. Mme Traoré Oumou Touré pour la nommer, continue de tirer les ficelles, voulant coûte que coûte maintenir ces “femmes” de paille à la tête de la Coordination dont elle a été l’inamovible présidente jusqu’à sa nomination en qualité de ministre.

La complicité de l’Etat est poussée jusqu’à interdire à l’ORTM la couverture des activités du bureau reconnu, la chaîne publique assurant allégrement la médiatisation de celles du camp imposé par Mme le ministre pour assurer ses arrières et surtout les élections prochaines. Pour tous ces petits calculs, les autorités ont donc décidé de gâcher la fête des femmes. Dommage !

DAK

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