Présidentielle 2018 casse tête parrainage
Selon plusieurs informations reçues en provenance des quartiers généraux (QG) des candidats à l’élection présidentielle de 2018, les députés font des misères à ces prétendants en quête de parrainage. Ils réclameraient 10 millions de FCFA pour céder le sésame. Conséquence: les candidats ne se bousculeraient pas devant la Cour constitutionnelle, légalement habilitée à recevoir les candidatures.
A l’élection présidentielle de juillet de 2018, il y a beaucoup de candidats qui n’ont aucun député à l’Assemblée nationale. Pour le parrainage de leur candidature, ils galèrent. Les députés exigeraient jusqu’à 10 millions de F CFA. A prendre ou à laisser. Conséquence à craindre : beaucoup de candidats risquent d’abandonner la course sans même de l’avoir entamée.
Pour rappel, chaque candidature doit avoir le parrainage de 10 députés ou de 5 conseillers municipaux par région. Et l’enregistrement des candidatures a commencé depuis le mercredi 30 mai 2018.
Selon certaines sources, pour remédier à ce blocage, visiblement insurmontable pour certains, beaucoup de prétendants auraient trouvé l’astuce de se mettre ensemble. D’où, aujourd’hui, le principe des alliances politiques et électorales auxquelles les Maliens assistent depuis un certains temps.
Youssouf Z KEITA
Présidentielle 2018 casse tête parrainage
Source : Info-Soir
Selon plusieurs informations reçues en provenance des quartiers généraux (QG) des candidats à l’élection présidentielle de 2018, les députés font des misères à ces prétendants en quête de parrainage. Ils réclameraient 10 millions de FCFA pour céder le sésame. Conséquence: les candidats ne se bousculeraient pas devant la Cour constitutionnelle, légalement habilitée à recevoir les candidatures.
A l’élection présidentielle de juillet de 2018, il y a beaucoup de candidats qui n’ont aucun député à l’Assemblée nationale. Pour le parrainage de leur candidature, ils galèrent. Les députés exigeraient jusqu’à 10 millions de F CFA. A prendre ou à laisser. Conséquence à craindre : beaucoup de candidats risquent d’abandonner la course sans même de l’avoir entamée.
Pour rappel, chaque candidature doit avoir le parrainage de 10 députés ou de 5 conseillers municipaux par région. Et l’enregistrement des candidatures a commencé depuis le mercredi 30 mai 2018.