Directoire Campagne Candidat Soumaila Cissé l’Election Présidentielle 29 juillet 2018
Communiqué N°004 Le Chef de file de l’Opposition politique et candidat à l’élection présidentielle du 29 juillet est alarmé par l’incapacité du président de la République et du Gouvernement à mettre fin aux tueries en cours dans plusieurs cercles de la région de Mopti et à l’escalade de la violence au centre du pays en général. Les pouvoirs publics maliens donnent l’impression d’être des spectateurs de la tragédie que vivent les populations. Le pays est en feu, le sang coule chaque jour sans que le Gouvernement prenne des mesures appropriées pour stopper cette violence destructrice.
Son inaction qui ne cesse d’inquiéter semble résulter d’une stratégie du chaos visant à saboter l’élection présidentielle du 29 juillet en rendant toute consultation hypothétique, voire impossible au Centre.
La grève d’une semaine déclenchée ce lundi 25 juin 2018 par les préfets et sous-préfets est un sérieux obstacle dans la distribution des cartes d’électeurs sur l’ensemble du territoire.
Il est incompréhensible que le Président et le Gouvernement n’aient pris aucune mesure pour éviter le déclenchement, en ce moment précis, de cette grève sans précédent dans l’histoire de l’État malien.
Par leur indifférence et leur immobilisme face à des situations aussi graves, les autorités maliennes portent une lourde responsabilité dans un éventuel déraillement du processus électoral de 2018.
Bamako, le 25 juin 2018,
Le Directeur de campagne.
Tiébilé Dramé
Directoire Campagne Candidat Soumaila Cissé l’Election Présidentielle 29 juillet 2018
Source : Le Républicain
Communiqué N°004 Le Chef de file de l’Opposition politique et candidat à l’élection présidentielle du 29 juillet est alarmé par l’incapacité du président de la République et du Gouvernement à mettre fin aux tueries en cours dans plusieurs cercles de la région de Mopti et à l’escalade de la violence au centre du pays en général. Les pouvoirs publics maliens donnent l’impression d’être des spectateurs de la tragédie que vivent les populations. Le pays est en feu, le sang coule chaque jour sans que le Gouvernement prenne des mesures appropriées pour stopper cette violence destructrice.
Son inaction qui ne cesse d’inquiéter semble résulter d’une stratégie du chaos visant à saboter l’élection présidentielle du 29 juillet en rendant toute consultation hypothétique, voire impossible au Centre.
La grève d’une semaine déclenchée ce lundi 25 juin 2018 par les préfets et sous-préfets est un sérieux obstacle dans la distribution des cartes d’électeurs sur l’ensemble du territoire.
Il est incompréhensible que le Président et le Gouvernement n’aient pris aucune mesure pour éviter le déclenchement, en ce moment précis, de cette grève sans précédent dans l’histoire de l’État malien.
Par leur indifférence et leur immobilisme face à des situations aussi graves, les autorités maliennes portent une lourde responsabilité dans un éventuel déraillement du processus électoral de 2018.
Bamako, le 25 juin 2018,
Le Directeur de campagne.
Tiébilé Dramé