Entre les autorités et les organisations peules, l’heure n’est plus à l’apaisement. Bien au contraire, il y a de profondes contradictions entre leurs lectures sur les malheureux événements de samedi dernier.
Officiellement, du côté du gouvernement, on a annoncé que 22 corps ont été retrouvés à Koumaga, dans le cercle de Djenné le samedi 23 juin, alors que la plus importante association peule du Mali, Tabital Pulaaku, fait état d’au moins 37 civils peuls tués. Tandis que le gouvernement évoque un affrontement intercommunautaire, l’association dénonce des dozos qualifiés de mercenaires à la solde des autorités.
En attendant que ces deux acteurs majeurs et incontournables mettent fin au carnage qui a déjà couté la vie à des centaines de civils depuis le début de l’année, le plan de sécurisation du centre qui a été annoncé à grands renforts de publicité sur les médias nationaux et internationaux à coups de centaines de millions, est désormais un autre cuisant échec pour le régime. Les faits sont têtus.
En un mot Gouvernement Tabital Pulaaku couteaux tirés
DAK
Source: L’Indicateur du Renouveau
Il est grand temps que les Maliens sachent que la considération ethnique n’ont aucun sens, le faite de prendre des armes pour aller attaquer n’est pas une bravoure mais plutôt le rendement chacun dans le développement pour notre bien être doit être une fierté de nous tous.
Vraiment je demande à mes confrères que l’heure est mal choisi ont doivent tous donné la priorité à notre chère patrie qui est confronté à une crise sécuritaire donc ensemble restons unis pour la paix.
La responsabilité de l’état malien doit être dégagée dans cette affaire car son fait des années que ces communautés qui s’affronte aujourd’hui le font depuis des années et ça n’a pas commencé sous le régime de I B K qui a d’ailleurs fait tout son possible pour apaiser les tensions et je suis sûr que la situation va revenir à la nouvelle