Au Mali, le mérite fait défaut pour ce qui est de l’attribution des pouvoirs. L’actuel directeur du centre international des conférences en serait une illustration parfaite. Ce centre qui a été relooké à hauteur de plusieurs milliards de nos francs aurait toutes les peines du monde pour tirer profit de cet investissement. En lieu et place des agents chargés du contrôle, un certain Dissan car c’est de lui qu’il s’agit, va manquer aux clients, en se promenant au lieu de cérémonie en lieu et place de ceux chargé pour cela. En pleine activité, il dit à certains de ne pas toucher les murs. A défaut d’un système managérial décent, il fait fuir les clients par son manque de technique commerciale.
Contre tous les textes afférents au choix d’un directeur général, il a été imposé. N’étant ni fonctionnaire, ni un cadre du centre. L’ex-ministre de la culture qui serait son mentor l’a imposé.
Il a fait doubler le prix des salles. De 1 million de nos francs, certaines salles sont au-delà de 2 millions. A une époque pas lointaine, cette structure refusait du monde, aujourd’hui, les lieux semblent déserts compte tenu de l’accueil et du prix. En plus d’un accès infernal, il n’a aucune éloquence pour l’abord de potentiels clients.
Dans sa gestion et son approche, son manque de capacité intellectuelle est vite dépeint ou même dénoté.
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