Si les autorités et les partenaires se battent en vue de trouver une solution à la problématique de la défécation à l’air libre qui est la source de plusieurs maladies diarrhéiques, sur le site des déplacés de Faladiè Séma, le constat est amer sur les tas d’ordures. En un mot, c’est ‘’bonjour la défécation à l’air libre’’. Face à cette situation, les autorités doivent-elles rester les bras croisés ?
Selon les données, en l’absence de toilettes, la manière alternative de se soulager (en pleine nature, dans des sacs plastiques, à proximité d’habitations ou de points d’eau) engendre de graves risques sanitaires. Et pour cause : les excréments, réservoirs à microbes, se retrouvent à la portée des adultes et des enfants, des animaux et des insectes, et contaminent les cours d’eau.
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU MARDI 19 NOVEMBRE 2019
Par Tougouna A. TRAORE
Source : Nouvel Horizon
