Premier groupe bancaire au Mali et figurant dans le peloton de tête des banques africaines, la BDM-Sa allie performances, qualité managériale et mobilisation des ressources. Tout ce qui fait d’elle faisant d’elle le symbole de la résilience de l’économie malienne.
Il n’est pas rare d’entendre les plus hautes autorités, maliennes et de la sous-région, magnifier les performances économiques de notre pays qui, malgré la crise multidimensionnelle, parvient à se classer et à se maintenir 3ème économie de la zone UEMOA. A l’instar des populations, l’économie malienne fait preuve d’une résilience qui force le respect. Dans ce combat pour maintenir l’économie malienne sur le podium sous régional, les autorités comptent sur la BDM-Sa pour la mobilisation de ressources financières.
La mobilisation des ressources extérieures demeure un enjeu permanent pour la BDM. Grace à une crédibilité assise et reconnue, elle est à ce jour, la seule banque malienne membre de l’Association des Institutions Africaines de financement du développement (AIAFD), un organisme ou siègent entre autres, des poids lourds de la finance africaine comme la BAD ou la banque de développement de l’Afrique australe (DBSA). Cette affiliation qui date de 2018, a permis à la BDM de consolider ses relations institutionnelles mais aussi de mobiliser plus de ressources pour financer les besoins du Mali et du secteur privé. On peut citer entre autres fonds mobilisés à ce jour : 20 Milliards auprès de la Banque Arabe pour le Développement Economique en Afrique (BADEA), 10 Milliards de FCFA de la Banque pour l’Intégration et le Développement du Commerce (BIDC), 20 Milliards de F CFA auprès de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) et 20 milliards de CFA de la Banque Africaine de Développement.
Le financement obtenu de la BAD en août dernier, par exemple, contribuera à réaliser les engagements de performance de la BDM-SA par le renforcement du développement durable et de la croissance économique par le levier du secteur bancaire. L’enveloppe de financement est destinée aux secteurs clés de l’économie : l’Agriculture, l’Industrie, l’énergie et le social avec un volet destiné aux femmes. Ce qui permet d’assurer une croissance inclusive et durable. Grâce à des investissements productifs ciblés et un millier d’emplois provenant des projets éligibles seront créés.
Ces mobilisations de ressources financières permettent à la BDM-Sa non seulement de participer activement à l’essor économique du pays mais également de renforcer sa position de leader au plan national et régional.
La BDM-Sa, l’empreinte d’un leader
C’est à la force du poignet que la BDM-Sa s’est taillée une place de choix au soleil. Premier groupe bancaire du Mali, la BDM-Sa s’est imposée dans la sous-région et en Afrique et est devenue une abonnée dans ces distinctions très sélectives.
Si en 2018, le premier Groupe Bancaire malien avait été distingué « Meilleure Banque de l’Afrique de l’Ouest », cette année c’est son Administrateur, Directeur Général qui a eu l’insigne honneur d’être sélectionné et d’arriver dans le peloton de tête dans la catégorie « Banquier Africain de l’année ».
Une véritable prouesse quand on sait que la seule zone UEMOA compte un minimum de 150 banques et établissements financiers, on imagine aisément qu’ils sont des milliers à l’échelle du continent.
La distinction du Directeur Général de la BDM apparait comme une suite logique, si l’on s’en tient aux résultats engrangés depuis plusieurs années. En 2018, le groupe bancaire a même établi un record au Mali, en affichant, un peu plus de 1 000 milliards de FCFA de total bilan et en dégageant un bénéfice de 15 milliards de F CFA. Ces résultats sont le fruit d’un management novateur, à l’écoute d’un personnel engagé, professionnel et expérimenté.
Concernant, les résultats au premier trimestre 2019, le Conseil d’Administration qui s’est réuni le jeudi 29 août 2019, à l’Hôtel Azalai Abidjan-Marcory a confirmé la bonne tenue des comptes de gestion de la BDM-SA et de ses filiales. Une situation qui augure de bonnes perspectives pour l’année en cours et celles à venir selon Ahmed Mohamed AG HAMANI, le président du Conseil d’Administration de la BDM SA.
ENCADRÉ : L’extension du réseau, une politique de proximité
En 2018, conformément à l’esprit du (Plan à Moyen Terme) PMT 2018-2020 sur le développement du réseau, la BDM a mis en œuvre sa politique de maillage géographique et une implantation stratégique à tout endroit présentant un potentiel important. C’est ainsi qu’elle a ouvert des agences dans plusieurs localités urbaines et semi urbaines. Il s’agit de Sébeninkoro, Kalaban Coura,Sotuba,Dibida , l’agence PME- PMI à Bamako et de BDM Bougouni dans la région de Sikasso.
Dans le même esprit, en 2019, la BDM SA a procédé à l’opérationnalisation des agences de Magnambougou, Kabala, Banamba et d’un bureau dans la localité de Dio.
Le 9 mars 2019, la deuxième agence de la ville de Ségou a été délocalisée et fortement relookée pour répondre à toutes les commodités de la banque moderne.
La dernière agence inaugurée en 2019, a été celle du quartier de Boulkassoumbougou dans la commune 1 du District de Bamako. Elle doit consolider et désengorger le réseau d’agences de la partie de la capitale ou les activités économiques sont particulièrement dynamiques.
Dans chacun des cas, il s’est agi d’être au plus près de la clientèle pour la satisfaction de ses besoins.
Premier groupe bancaire malien grâce à l’implantation de quatre (4) filiales à l’international (la BDU-Côte d’Ivoire, la BDU-Burkina Faso, la BDU-BISSAU, la BDM-France), et un bureau en Espagne. La BDM-Sa envisage d’ouvrir très bientôt des succursales au Sénégal et au Togo. Elles seront suivies en 2020 par l’ouverture de représentations au Niger et au Benin.
Direction de la Communication
Source : LE PAYS