La Direction générale du commerce, de la consommation et de la concurrence (DGCC) est une structure assez stratégique si elle jouait bien son rôle. Mais il n’en est pas le cas à cause du comportement peu orthodoxe des hommes de Boucadary Doumbia. La preuve…
Conformément aux instructions reçues, certains enquêteurs de la direction générale du commerce et de la consommation n’en font qu’à leur tête et pour leur poche. En effet, malgré les mensonges, il convient de rappeler que les denrées de première nécessité ont grimpé de prix dans plusieurs localités du Mali. ‘’Au Mali, il suffit juste que le mois de Ramadan pointe son nez pour que les commerçants fassent grimper les prix des produits de première nécessité. De nos jours à Bamako et à San le kilogramme du sucre et du lait en poudre a augmenté de prix. Au même moment, au lieu d’aider la population à résoudre ses problèmes, certains enquêteurs de la direction générale du commerce et de la consommation font croire que tout va très bien’’, nous confiera un de nos lecteurssous l’anonymat.
En temps normal, le plafonnement des produits de première nécessité n’est caché à personne. Pourtant, il y a des dépassements qui se font régulièrement sans que les coupables soient inquiétés par qui que ce soit. D’où la question à savoir à quoi servent les enquêteurs de la direction générale du commerce et de la consommation. Sont-ils complices ? Le Directeur Général est-il lui aussi impliqué ? Combien reçoivent-ils pour ne rien dire ? Voilà autant de questions que nous tenterons de répondre dans nos futures livraisons. D’ici là, nous osons espérer que le ministère de tutelle prendra en compte la souffrance des Maliens, surtout en cette période de restriction ou l’argent devient de plus en plus rare. Déjà, le ministre de tutelle a commencé à prendre des coups à travers ce mauvais comportement de la DGCC.
La rédaction
LE COMBAT