Ranieri, né et élevé à Rome et un fan de longue date du club de la capitale, avait repris une équipe sans points dans les premiers stades de la saison 2009-10, mais après un départ lent, a conduit les Giallorossi à une séquence de 24 matchs sans défaite qui les a laissés au sommet en Italie avec quatre matches à jouer.
Cependant, il y a 10 ans samedi, un raz-de-marée d’émotion s’est écrasé dans l’un des matchs les plus spectaculaires de l’histoire récente de la Serie A, une défaite 2-1 à domicile contre la Sampdoria qui a presque conféré le titre et la chance de terminer à l’Inter Milan de Jose Mourinho. une ligue, une coupe et une Ligue des champions désormais célèbres.
La défaite et la défaite 3-1 de l’Inter face à l’Atalanta la veille ont donné à l’équipe de Mourinho deux points d’avance avec trois matchs à jouer, une avance que les futurs champions d’Europe ne céderaient pas.
Le match a eu lieu dans un doux stade Stadio Olimpico à Rome et a été le dernier vrai combat face à l’équipe de Ranieri, avec un côté Samp divertissant avec Antonio Cassano chassant une place en Ligue des champions.
– Traumatique –
Une ouverture volcanique de 45 minutes a renforcé le sentiment que Ranieri était sur le point de frapper les insultes de Mourinho – il avait appelé son collègue l’ancien patron de Chelsea un perdant en série et se moquait de son anglais – dans la gorge du Portugais, alors que Francesco Totti balayait les hôtes devant tôt sur et a continué à tirer les cordes dans un affichage dominant.
Cependant, le patron de Samp, Gigi Delneri, a changé la donne à la mi-temps et la marée a tourné. plusieurs cris de pénalité refusés.
“Personne ne se serait plaint si cette première mi-temps avait fini 3-0”, a déclaré Ranieri au début du mois. “Nous avons eu trois ou quatre chances de gagner le match que nous avons perdu. Ensuite, ces deux buts nous ont arraché les jambes.”
La défaite de Samp a laissé une marque profonde sur une équipe talentueuse qui a ensuite sombré dans le marasme. C’était si traumatisant pour le compatriote de Ranieri, Roman Daniele De Rossi, qu’il a répété à plusieurs reprises que c’était le seul match de ses 18 ans au club qu’il jouerait. encore.
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“Je m’assurerais de marquer Pazzini d’homme à homme. Ce match était le match qui aurait pu nous donner la gloire que l’équipe méritait”, a-t-il déclaré.
– Sel dans la plaie –
La course exaltante de la Roma a commencé début novembre avec 14 points de retard et n’a pris la tête du championnat qu’à la mi-avril grâce en partie à des victoires spectaculaires de 2-1 contre la Juventus, la rivale locale Lazio et l’Inter bégayant.
Cependant, la défaite cuisante contre Samp a laissé l’Inter en tête de deux points et la semaine suivante, les supporters de la Lazio ont rapidement frotté le sel dans la blessure.
Ils ont soulevé une bannière ironique “Oh nooo” alors que leur équipe a perdu 2-0 face à l’Inter, dans une atmosphère surréaliste et festive à Rome après que les supporters de la Lazio aient exigé que leurs joueurs laissent le Nerazzurri gagner.
Avec deux victoires pour les deux équipes avant le dernier tour des matches, quelque 15 000 supporters roms se sont rendus à Chievo dans l’espoir que l’Inter – qui avait besoin de gagner – pourrait se glisser à Sienne, et à la mi-temps, leur équipe était top grâce aux frappes de Mirko Vucinic et De Rossi et une première période sans but en Toscane.
Cependant, Diego Milito, qui couronnerait une campagne célèbre avec les buts qui donneraient à l’Inter leur troisième Coupe d’Europe, a frappé juste avant l’heure de jeu à Sienne pour mettre fin aux rêves de Ranieri de gagner le Scudetto de son club d’enfance.
La déception a marqué la fin d’une bataille acharnée entre les deux parties qui avaient vu la Roma terminer deuxième derrière l’Inter trois des quatre saisons précédentes, l’équipe vieillissante de Mourinho grinçant devant son meilleur niveau après son départ pour le Real Madrid.
Les Roms attendent maintenant un autre titre depuis 2001 et Ranieri, qui a démissionné en février suivant, devrait attendre encore quelques années avant de finalement entrer dans l’histoire.
