Libéré ce lundi après une courte détention à la suite du meeting du 10 juillet dernier, le coordinateur de la CMAS regrette les actes de vandalisme et les pillages qu’a connu la capitale.
Tout en prônant le dialogue, N’Djim concède que le Président IBK peut toujours arranger la situation, « en se ressaisissant », selon sa propre expression.
En restant dans le cadre du M5, il appuie n’avoir pas à donner une position au non de tous, mais le concernant, il est ferme pour ce qui est de la violence : « Je suis contre toute sorte de violence », se démarque-t-il de ceux que le Président Keïta a appelé “casseurs”.
Madick Niang pour Malizine