Les « Fils » d’IBK sont invités à faire valoir leur volonté à soutenir IBK. Concrètement ils sont invités par le Sommet des Chefs d’État à rendre leur démission pour la reprise des élections législatives dans leur circonscription respectives. Depuis cette annonce, la majorité parlementaire concernée par cette décision est devenue vide. Si la CODEM de l’ancien ministre Housseyni AMION GUINDO a opposé un niet catégorique, à la décision des chefs de l’Etat, les autres députés n’entendent même pas se prononcer sur la question.
31 sièges sont concernés par cet appel à la démission issu du sommet extraordinaire des Chefs d’État de la CEDEAO sur la crise malienne. « La démission immédiate des 31 députés dont l’élection est contestée y compris le Président du Parlement. La Majorité Présidentielle devra mettre tout en œuvre pour obtenir cette démission qui ouvrira la voie à des élections partielles. En attendant ces élections partielles, le Parlement pourra fonctionner avec les 116 députés restants » . C’est ce qui ressort de la décision des Chefs d’Etat de la CEDEAO. Si cette mesure se veut idéaliste pour corriger les fautes incombées à la Cour Constitutionnelle, c’est sans compter sur la volonté des députés à ne pas lâcher prise. Les députés théoriquement aptes à donner une (…)
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Par Mahamane TOURÉ
NOUVEL HORIZON