Si les chefs d’Etat de la Cédéao ont tous refusé de reconnaître la démission d’IBK « obtenue » sous contrainte, ils ne font plus de son retour aux affaires une exigence. Ils veulent plutôt lui laisser le choix de partir ou démissionner avant de décider d’une action militaire ou non. Hier lors de la visioconférence, ils ont aussi décidé de passer un régime de sanction en crescendo.
Pour cela, avec les plaidoyers des présidents burkinabé et sénégalais, les denrées de première nécessité, les produits pharmaceutiques ainsi que le carburant et l’énergie ne seront pas soumis à l’embargo. Mais tout dépendra des conclusions de la mission encore dirigée par l’ancien président nigérian, Goodluck Jonathan, ce samedi à IBK.
DAK
Lire la suite sur L’Indicateur du Renouveau