Moussa Mara, Ancien Premier ministre, président du parti Yélèma : «Ça commence bien. Nous espérons que les uns et les autres pourront continuer à dire tout ce qu’ils ont à dire, et qu’après, on fasse de bonnes synthèses».
Fahad Ag Almahmoud, secrétaire général du GATIA : «Je pense que c’est une bonne chose que les Maliens discutent des maux du pays afin de s’entendre sur ce qui devrait être une transition démocratique».
Fousseyni Doumbia, professeur de droit constitutionnel : «Au regard de la situation de crise que nous vivons, il est particulièrement important que les Maliens se retrouvent pour décider de l’avenir de notre pays. Il est également important qu’un consensus sorte de cette concertation pour le bonheur exclusif du peuple malien».
Dr Abdrahmane Sylla, ancien ministre, secrétaire politique du RPM : «Il faut se réjouir de l’atmosphère qui règne au sein des différentes commissions. Je pense que dans la sérénité des débats, nous aurons sûrement de bons résultats».
Mohamed Salia Touré, membre de la CMAS : «C’est un grand jour que les Maliens et les Maliennes se retrouvent pour parler du destin du Mali. Nous espérons que les recommandations qui vont sortir de cette rencontre nous permettront d’aller à une transition inclusive».
Mahamadou Farka Maïga, membre du Haut conseil des Maliens de l’extérieur : «Les événements qui se sont succédé nous obligent aujourd’hui à être ensemble pour trouver une solution de sortie de cette crise. Ce qui est en train de se passer est extrêmement important et entre en ligne directe des valeurs et cultures qui incarnent ce pays et ses hommes».
Propos recueillis par
Bembablin DOUMBIA
Source: Essor