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OCCUPATION D’UNE PARTIE DU TERRITOIRE MALIEN PAR L’ARMÉE ALGERIENNE LE PARTI ADEPM DÉNONCE UNE VIOLATION FLAGRANTE DU PRINCIPE D’INTANGIBILITE DES FRONTIÈRES

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Algérie-Mali : L’histoire inachevée d’un terroriste recherché

Pour déposséder une partie de notre territoire, très riche en sous-sol, l’Armée algérienne en complicité avec des Forces Barkhane et des Nations Unies a confisqué la frontière de In-halid cercle de Tessalit, (région de Kidal), en installant par la même occasion des bornes dans cette localité. En effet, l’Armée algérienne et des Forces étrangères dans notre pays ont borné, ce mois de   septembre, la localité d’In-Halid dans la région de Kidal (frontière avec l’Algérie), afin de déposséder   notre pays de cette partie de son territoire, dont le sous-sol est très riche, pour l’exploiter.

Ayant appris la nouvelle, le Parti Alliance Démocratique du Peuple Malien (ADEPM) à travers un communiqué publié le mercredi 23 septembre dernier, indique

« avoir appris avec stupéfaction et indignation l’annexion d’une partie du territoire malien par l’Armée algérienne. Il s’agit notamment de la frontière de In-halid cercle de tessalit, région de Kidal, précisément la localité frontalière de inkhalil jusqu’à placer des bornes.  Cette zone est sous le contrôle des Forces Barkhane, des Nations unies et des groupes armées de la Coordination des Mouvements de l’Azawad (CMA) », dénonce le communiqué.

Si ces informations se confirment, la complicité des forces Barkhane et des Nations Unies dans l’annexion de cette partie frontalière très riche en sous-sol se confirme.

Pour ce faire, « le Parti ADEPM déplore cette violation du principe d’intangibilité des territoires par l’Algérie au moment où le Mali est plongé dans une crise multidimensionnelle et devant la Force Barkhane qui possède une base militaire à Tessalit.

Avant de proposer aux nouvelles autorités qui ont la charge de la gestion de la Transition de procéder à une évaluation et une relecture de l’accord de coopération militaire entre la France et le Mali.

Pour le Parti Alliance Démocratique du Peuple Malien (ADEPM), « les concertations nationales ayant rendu souveraines la forme et les organes de la Transition politique, les autorités dirigeantes ont la légitimité et la légalité de revisiter cet accord qui ne profite en rien du peuple Malien ».

Il (…)

RETROUVEZ L’INTEGRALITE DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU LUNDI 28 SEPTEMBRE 2020

Abdoul Karim SANOGO

NOUVEL HORIZON

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