Cette situation peut s’expliquer par la non prise en compte de certaines exigences faites par l’Organisation sous-régionale notamment la dissolution du CNSP, la limitation des prérogatives du vice-président de la transition aux seules questions de défense et de sécurité, l’impossibilité pour lui de remplacer le président de la transition en cas d’empêchement. S’y ajoutent la libération de tous les détenus civils et militaires et la mise à disposition de la version finale de la Charte de la transition.
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Source : l’Indépendant