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Droits de l’homme au Cameroun: les autorités répondent aux inquiétudes de l’ONU

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Vue du centre de Yaoundé au Cameroun.

Dans un communiqué publié le 12 octobre, des experts des droits de l’homme des Nations unies demandaient au Cameroun de libérer l’opposant Maurice Kamto, le leader du MRC, dont la résidence est encerclée par la police et la gendarmerie, ainsi que les personnes arrêtées lors des manifestations du 22 septembre. Dans une déclaration lue par le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, René Emmanuel Sadi, les autorités camerounaises estiment que la marche du 22 septembre n’était pas « pacifique ».

L’insécurité alimentaire est souvent due à un certain nombre de facteurs et ces facteurs, malheureusement, ces derniers mois ont été exacerbés à tous les niveaux: l’insécurité, les conflits interethniques, les conflits armés et puis la pandémie est venue s’ajouter à cela. Toutes les mesures qui ont été prises par les gouvernements, de fermer les frontières, ça c’est avec l’extérieur, de ne plus permettre les déplacements entre provinces en RDC, il y a certaines provinces qui sont très vulnérables, dès que Kinshasa ne peut pas approvisionner, effectivement, les gens retombent dans une situation d’insécurité alimentaire comme on la connait aujourd’hui. Il y a une carte que l’on peut regarder, et elle montre bien que là où il y a eu tous ces fléaux, l’insécurité alimentaire a augmenté. Tous les territoires en RDC ont été impactés, mais certains beaucoup plus que d’autres. Tout ce qui est à l’Est: Ituri, Nord et Sud-Kivu, Tanganyika et puis dans le grand Kasaï, toutes ces parties de la RDC sont très touchées.

RFI

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