Alors que les regards sont tournés vers Farabougou dans la région de Ségou, assiégé depuis vingt jours par des groupes qui se présenteraient comme des jihadistes, le sang continue de couler au centre. Ainsi, selon l’association Tabital Pulaaku, le 22 octobre a vu le massacre dans le village de Liébé, dans le cercle de Bankass, de plus de 24 civils dont des enfants et des personnes âgées.
Un massacre survenu quelques jours après la mort d’une quinzaine de militaires et autant de civils dans les mêmes zones attribuée à des terroristes. Des accusations sont portées de part et d’autres et même contre les forces régulières.
Irréversiblement, le pays se consume et on regarde ailleurs, comme dirait l’autre.
DAK
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