Accueil Société Mon infidélité m’a conduit aux urgences : “Ma femme et mes 6...

Mon infidélité m’a conduit aux urgences : “Ma femme et mes 6 maîtresses m’ont molesté”

122
0
PARTAGER

J’ai passé 15 jours aux urgences et depuis je suis en arrêt maladie et j’ai de multiples fractures et une commotion cérébrale. Témoignage d’une victime de son infidélité. 

Ici au Mali, la femme est faite pour supporter toutes les épreuves du mariage surtout l’infidélité de son mari.

“Je suis marié à Doussou et nous avons 3 enfants. Doussou est une femme soumise, pieuse, et respectueuse. Elle gère un petit commerce et je subviens à ses besoins.

Mais comme tout être humain j’ai des faiblesses, j’ai beaucoup de maîtresses et c’est la base des problèmes dans mon foyer. Il y a quelque temps, Doussou a remarqué que j’avais un deuxième téléphone malgré que je le lui cache soigneusement et je l’éteignais dès que je rentrais à la maison.

En septembre dernier, j’ai oublié mon arme de crime à la maison, et lorsque je m’en suis aperçu, j’étais déjà au bureau. J’ai tout fait pour rentrer tôt, mais j’ai dû enchaîner réunion sur réunion, une grosse journée. Vers 19h, je me suis empressé de rentrer sans passez voir mes maîtresse, alors que j’en vois au moins 2 avant de rentrer.

Arrivé chez moi, j’ai eu des frissons, la chair de poule et j’aurais dû faire marche arrière, mais je suis un homme, je peux tout affronter et je suis le chef de famille après tout. Je suis rentré et derrière moi ma femme est entrée et a fermé la porte à clé et là je vois mes 6 maîtresses. J’étais sous le choc. Elles étaient assises dans mon salon,armé de louche, gourdins, battons, barre de rideau, et il m’était impossible de m’échapper. J’ai d’abord donné un coup de poing à ma femme pour qu’elle m’ouvre la porte et là ces folles ce sont jetées sur moi et jamais de ma vie, je n’ai autant été bastonné et molesté. Un coup bien préparé par ma femme en juste quelques heures.

Je n’ai pas eu d’autre choix que de crier au secours et Dieu merci tout Garantibougou a entendu mes cris de détresse, et les voisins ont réussi à casser la porte et m’ont conduit à l’hôpital. J’ai été humilié et le pire c’est que ma propre famille a pris partie pour ma femme. Je ne parviens même pas à m’asseoir car mon fessier a presque été déchiqueté”.

Sira Diarra

Source: Mali Tribune

LAISSER UN COMMENTAIRE

Please enter your comment!
Please enter your name here