Non, il n’y a pas photo, la période burlesque du soutien tout azimut au polisario que les dirigeants algériens parrainaient en jouant sur l’apitoiement idéologique des Associations européennes et de l’opinion de gauche est révolue.
La bouffonnerie algéro-polisarienne a été dévoilée en France lorsque les polisariens ont agressé des Marocains pacifistes Place de la République à Paris et porté atteinte à l’inviolabilité du Consulat Général du Maroc à Valence, en Espagne.
Cette déroute a infligé un sérieux revers à la coalition algéro-polisarienne de l’axe Alger-Tindouf au point que des ressortissants algériens n’ont pas hésité un seul instant à partager avec les associations marocaines le sit-in de protestations de Valence pour dénoncer cette vile agression.
Ainsi, il a été permis de constater de visu que nombre d’immigrés algériens ont tenu à porter le drapeau de leur pays. Les drapeaux marocains et algériens auront donc flotté ensemble devant leConsulat Général du Maroc à Valence pour dénoncer ce conflit artificiel sur le Sahara marocain, mettant ainsi fin à ce faux refrain du régime militaire algérien quant au soutien indéfectible de la population algérienne au pseudo peuple sahraoui.
Une manifestation largement suivie par la presse espagnole etplusieurs chaînes de télévision qui ont diffusé des reportages sur ce sujet, tout en rappelant les derniers développements de la réouverture du passage d’El Guerguerat et la position de l’Espagne sur ce dossier.
Aujourd’hui, il est clair que le net recul des soutiens dont se vantaient les polisariens dans de nombreuses villes espagnoles a totalement atomisé les pontes du polisario au point quedans un enregistrement audio qui a fuité, le terropolisarien en Chef, Brahim Ghali, parle d’un isolement mortifère causé, dit-il, « par la faiblesse des intellectuels et des journalistes qui ont laissé le polisario dévoiler sa fragilité dans le combat d’El Guerguerat ».
D’autant que plusieurs voix, en Europe, se sont élevées pour demander l’ouverture d’une enquête sur l’activisme des séparatistes qui violent les lois des pays qui les accueillent. D’autres s’interrogent sur les sources de financement de ce mouvement qui prétend être démuni, alors qu’il est capable de se doter d’une forte logistique pour se déplacer en autocars afin d’organiser des manifestations.
Force est donc de constater que, suite à la débâcle algéro-polisarienne dans la zone d’El Guerguerat, le régime algérien s’est retrouvé acculé, affolé et complètement isolé sur la scène internationale. Bien plus, ces manœuvres l’ont mis à nu, dévoilant son implication directe dans le conflit artificiel, alors qu’il jouait la carte de l’impartialité.
Cet état de fait a donné plus de visibilité à plusieurs capitales européennes, américaines, africaines, asiatiques, océaniques et arabes sur ce conflit artificiel créé dans la région et se sont alignés du côté de Rabat.
Au final, après l’échec cuisant de ces manœuvres de manipulation des polisariens dans la zone d’El Guerguerat pour porter préjudice à l’intégrité territoriale du Maroc, le régime algérien s’est retrouvé acculé, affolé et complètement isolé sur la scène internationale. Les médias algériens ont beau inonder leurs concitoyens de fake news, ils ont été dénoncés par des internautes, des journalistes et d’anciens militaires algériens.
Au fait,un ancien militaire, qui n’est autre que le neveu du cousin du Président algérien, Abdelmajid Tebboune,vient de formuler des accusations graves à l’égard du Général-Major Saïd Chengriha, Chef d’Etat-Major algérien, et du Conseiller à la Présidence, Abdelaziz Moujahid, affirmant que les deux hommes sont responsables des années d’assassinats en Algérie. Il a même accusé le Général-Major Saïd Chengriha de planifier l’assassinat du Président Abdelmajid Tebboune. Bizarre, bizarre ! Attendons de voir son retour en Algérie et dans quel état !
Source: Farid Mnebhi