Dans le cadre des activités de la Journée internationale des migrants, l’édition 2020, la capitale des Rails, Kayes, a accueilli hier un panel de haut niveau qui a regroupé tous les acteurs impliqués dans la gestion des questions migratoires. Il a été au centre des débats ” l’impact de la pandémie de Covid-19 sur les actions des migrants et les communautés d’origine”.
Cet événement a enregistré la présence des membres du cabinet du Ministre des Maliens de l’Extérieur, des autorités locales de la région, des associations des migrants locales et des partenaires techniques et financiers.
A l’instar de la communauté internationale, le Mali a célébré l’édition 2020 de la journée internationale des migrants. Cette année, c’est Kayes, la Cité des Rails, qui a accueilli tous les acteurs impliqués dans la gestion des questions migratoires.
Faut-il le rappeler, en lien avec le contexte de la crise sanitaire, le thème retenu par les Nations Unies pour l’édition 2020 est : «réinventer la mobilité humaine en lien avec la Covid-19». Et au niveau national, le thème choisi est : «l’impact de la pandémie de Covid-19 sur les actions des migrants et les communautés d’origine».
La célébration de la journée internationale des migrants de cette année a été marquée par plusieurs activités entre autres : des travaux de panels sur les différentes thématiques de la migration; des débats télévisés et radiophoniques sur les enjeux de la migration et les efforts du gouvernement en matière d’assistance des migrants maliens ; des visites de terrain et l’inauguration de l’antenne d’accueil, d’information et d’orientation des maliens de l’extérieur de Kayes.
Cette première journée a été marquée par plusieurs panels. Il s’agit entre autres : Insertion/réinsertion des migrants de retour et candidats potentiels, Mécanisme de coordination des actions dans le domaine de la migration ; des cadres de concertation sur la migration, la coopération sud-sud en matière de migration, comme exemple de l’action de coopération Sud-Sud (Maroc, Sénégal, Côte d’Ivoire, Mali) où il existe la libre circulation des personnes et le schéma de la libéralisation des échanges de la CEDEAO.
Source : Le Soir De Bamako