A Bamako et partout dans les grandes villes de notre pays, il y a une floraison d’aires de lavages de véhicules. Le secteur semble nourrir son homme.
Depuis un moment, on assiste à une prolifération d’aires de lavages d’automobile dans la capitale et les grandes villes régionales. Même si le secteur est rentable, certains promoteurs décrient la situation actuelle du pays. Boubacar Sidibé, commerçant et gérant d’une aire de lavages à Kalaban Coura, nous explique comment s’est-il retrouvé dans le secteur du avantage. « Tout d’abord, je suis vendeur de véhicule, et c’est à travers ce métier que j’ai eu l’initiative d’ouvrir cette aire de lavage, c’est aussi un moyen pour les jeunes d’avoir de l’emploi, de quoi subvenir à leurs besoins. Mais dans toute chose, il y a des difficultés, qui sont souvent la perte de clés ou des dommages sur le véhicule dont souvent nous sommes sommés de réparer. Aussi, il y a les impôts, qui sont beaucoup élevés sans oublier le coup de l’électricité, excessivement cher dans notre pays. Sinon à part ceci, nous en tirons beaucoup d’avantages», explique-t-il.
Mieux encore avec Ali Traoré, lui aussi gérant, a fait part des difficultés auxquelles s’ajoutent également des problèmes d’eau.
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