Dans notre dernière livraison, nous avons rappelé le parcours de cet homme d‘Etat, homme de paix, de dialogue, grand défenseur du peuple malien qui broie du noir depuis trois décennies, l’imam Mahmoud Dicko constitue n’en déplaise à ses détracteurs, une véritable diguer à conserver et à renforcer. Personnalité religieuse modeste et humble qui défend toujours la patrie, de nos jours, sa contribution qui se poursuit pour l’avènement d’un dialogue entre tous les fils du pays, doit être prise en compte.
Le sauveur de demain !
Parler de l’imam Mahmoud Dicko, c’est rappeler le parcours sans faute d’un homme de foi rarissime sur l’échiquier national. Polyglotte, patriote convaincu, l’imam de la grande mosquée de Badalabougou n’est pas un inconnu. Au four et au moulin, fin connaisseur de la classe politique qu’il a vu naître. Acteur, voir artisans de l’avènement de la démocratie au Mali, l’imam Mahmoud Dicko sait où il va et ce qu’il veut pour le peuple malien : Le bonheur, le bion vivre, la cohésion sans exclusion aucun.
De nos jours, notre pays reste toujours confronté à une grave crise multidimensionnelle crée par la mauvaise gestion de trois décennies, sans partage des mêmes acteurs ou leurs sous fifres. Défenseur des causes justes, qu’on le veuille ou pas, l’imam Mahmoud Dicko pourra apporter sa contribution à l’apaisement et le bon vivre au Mali.
Prédicateur modéré connu pour sa défense d’un islam modéré, l’enfant de Tombouctou, qui s’est toujours battu pour une Mali unifié, de paix où il fait bon vivre, poursuit son combat », nous confie un supporter.
« Nationaliste convaincu qui ne souffre d’aucun doute, l’imam Mahmoud Dicko, incarne le rassemblement, la cohésion, un fédérateur hors pair qui a décidé de ne pas frémir devant les attaques de tous genres, des invectives car, il s‘agit de fédérer les énergies du peuple malien afin de nous sortir de ce bourbier », poursuit cet autre fan.
« Fédérateur, soupape de régulation du M5RFP, sa prise de distance a laissé des traces sur ce mouvement », rassure-t-il.
Selon l’imam Dicko qui l’a toujours martelé : « Accordons-nous sur le minimum pour sauver le pays ».
Source: Mali Demain