Ce post va tenter de répondre à tous ces hommes de médias et d’autres, qui veulent comprendre ce qui a motivé une lettre circulaire interne de l’URD, qui s’est retrouvée sur les réseaux sociaux.
En effet, le 1er vice-président de l’URD, qui dirige par intérim le parti depuis le décès du président fondateur Soumaïla CISSÉ, a jugé utile de recadrer au sein du parti afin de stopper une dérive qui aurait pu perturber la cohésion des militants.
Certains, à défaut de pouvoir convaincre par voie politique dans les instances, ont voulu forcer par voie d’huissier la convocation extraordinaire d’une instance suprême, pour déranger la tranquillité fragile, que le Pr. Salikou Sanogo maintient avec grande peine.
La réussite d’une telle fuite en avant allait affaiblir un parti confronté à une grande mutation. Elle allait aussi créer une cacophonie qui aurait pu échapper à tous les militants. Surtout elle aurait instauré du juridisme dans le groupe. Et ainsi initier une jurisprudence interne, qui pourrait faire de l’URD un parti habitué des tribunaux.
Ils doivent savoir qu’un parti politique doit pouvoir se gérer, en se basant sur une posture politique, et cela dans toutes ses instances.
Le Pr. Sanogo, en bon gardien du temple patriotique fondé par son regretté camarade de lutte, a bien fait de demander d’arrêter cette procédure politique sous manœuvre juridique. Il propose à ses quelques camarades auteurs de ce forcing, de choisir ouvertement et de façon limpide la voie politique, qui est la mieux indiquée dans le cas d’espèce, et qui maintiendra leur position en acte politique. Sa motivation me semble être l’union au sein du parti, et cela pour le bonheur du pays, dont nombre des fils comptent encore sur l’URD.
Pour moi, un document doit être contextualisé et expliqué. Celui-ci a été adressé aux militants du parti, il s’est retrouvé dans le cadre public, donc il doit être élucidé à cette opinion. D’où mon post-ci.
Moussa Sey Diallo, élu URD”
Le wagadu