Véritable self-made-man, Seydou Coulibaly connaît, depuis sa volonté affirmée de briguer la magistrature suprême, des railleries d’un autre âge. Il ne se passe pas une seule semaine sans que celui qui a réussi haut la main dans les affaires, ne soit la cible de certaines officines tapies dans l’ombre et qui vraisemblablement voient en lui, un adversaire sérieux à nuire.
Si, comme le rappellent les anciens, ni l’amour ni la haine ne doit exister sans raison, l’on peut d’ores et déjà résumer que la peur qui est un sentiment humain, détermine l’état d’esprit de ceux qui se reprochent quelque chose. Sinon, pourquoi tant de bruit inutile autour de la personne, des actions et des ambitions d’un homme ? Finalement, la candidature de Seydou Mamadou Coulibaly dérange qui ?
Dans un marigot politique pourri, la vertu perd tout son sens. Encore une fois, l’élite politique qui a du mal à endosser la responsabilité de l’échec de la gouvernance et de la faillite d’un Etat à terre, procède par le même modus operandi : briser par la calomnie et la médisance, toutes les âmes sensibles et animées de la volonté de changer.
Sur le dos de ceux qui aspirent au changement, des histoires à en dormir débout sont inventées dans le seul but de leur donner une image autre que la leur. Cas de Seydou Mamadou Coulibaly, un opérateur économique qui a fait preuve de ses capacités managériales dans divers domaines en Afrique et ailleurs.
Depuis trente ans, le quinquagénaire opérateur économique a brisé l’impossible. Du Mali, le jeune ingénieur va à la conquête du monde des affaires. Comme unique base, son savoir-faire. Ailleurs où on ne connaît pas les visages, là où il n’y a que le résultat qui compte, l’ingénieur malien a fait ses preuves. Ce qui d’ailleurs lui a permis de décrocher des marchés réguliers dans le domaine du génie dans des pays où la corruption fait moins la loi.
En réalité, outre les attaques sur fond de calomnie et d’ordre purement imaginaire, les adversaires de Seydou Coulibaly manquent d’arguments à même de l’arrêter dans sa lancée. Sinon, ceux qui ont trainé les casseroles sont connus au Mali. On connait la chanson. Mais comme le dit l’autre, nul ne jette de pierres sur un arbre dépourvu de fruits : le chien aboie et la caravane passe.
Madick Niang pour Malizine