Alors que le bras de fer semble annoncé entre le Mali et la Cédéao, Conakry emploi un discours moins musclé envers l’institution. Face à la reconduite des sanctions de la Cédéao, le ministre guinéen des Affaires étrangères, Dr Morissanda Kouyaté, a dit que son pays restait malgré tout à l’écoute de la Cédéao et que son pays n’avait pas de calendrier caché.
En une phrase: ce qui se passe ici ce n’est pas une crise, c’est une transition. Il faut que les deux mots soient bien compris. Nous continuerons à parler avec la Cédéao pour que la Cédéao nous accompagne.