Depuis un moment, des individus, tapis sous l’ombre, s’adonnent à dénigrer publiquement, via les réseaux sociaux ou des articles de presse, des personnalités politiques et administratives de notre pays. Leur objectif est de pouvoir contrarier le premier cercle du pouvoir dans leurs prises de décisions. À l’instar d’autres personnalités, la ministre de la Santé et du Développement Social en est actuellement une cible. Le président de la Transition Assimi et son PM Choguel, en responsables avisés, doivent, plus que jamais, faire très attention à ces sirènes.
En effet, ces derniers moments, des pêcheurs en eau trouble sont en train d’orchestrer une campagne de dénigrement contre Diéminatou Sangaré. Incapables de trouver une faille dans l’exercice de ses fonctions, ces détracteurs, animés d’intentions inavouées, s’attaquent à la ministre de la Santé et du Développement Social, en la présentant comme une personnalité de moralité douteuse. A l’aide de réseaux sociaux, ces gens publient des Infox dont ils attribuent la source au premier cercle du pouvoir exécutif.D’ailleurs, que peut-on concrètement reprocher à la ministre de la Santé et du Développement Social sur le plan professionnel? Quasiment rien ! Pour autant, les détracteurs de Diéminatou ont visiblement choisi alternativement de lui faire un procès d’intention. Ils ne vont certainement pas s’arrêter de cabaler contre elle de sitôt. Or, il apparaît que leurs médisances sur sa personne frisent le ridicule. Tant il est prouvé que la ministre de la Santé et du Développement social est une brave dame qui se bat, corps et âme, afin que ses compatriotes accèdent à des soins de qualité. Notamment, par la fourniture de plateau technique adéquat dont nos hôpitaux et centres de santé en manquent crucialement. En dépit de cette réalité, ses détracteurs ne vont certainement pas arrêter leur campagne de dénigrement.
Toutefois, il faut souligner que Diéminatou Sangaré, outre ses valeurs intrinsèques sur le plan académique, a toujours fait preuve d’abnégation au travail. C’est une femme de terrain qui est dotée d’une grande capacité d’écoute. Lorsqu’elle était à la tête de la Caisse malienne de Sécurité Sociale (CMSS), elle n’a de cesse démontré ses qualités managériales. Son désintéressement pour les deniers publics, certainement dû à son éducation familiale et religieuse, fait d’elle, une référence sur le plan professionnel. N’est-ce pas ce dont les maliens, épris de justice, ont tant besoin pour la renaissance de leur pays miné par des décennies de mal gouvernance ?
La Rédaction
Le Pélican