Tels sont les propos du Dr Mohamed Gakou qui s’est exprimé lors de ses vœux de 2023 à notre micro.
L’université Ispric ne se présente plus au Mali. Un groupe conduit par Mr Gakou au sein duquel siège la Maison de la presse.
” Je souhaite une bonne et heureuse année 2023 à tous ceux qui croient en Ispric et j’oublie pas le personnel administratif qui travaille nuit et jour afin que le travail soit bien exécuté” ajoute-t-il avant de dédier mention spéciale à tous les partenaires ( scientifiques, écoles alliées). Idem pour le comité stratégique où toutes les faîtières sont réunies, les groupements professionnels et employeurs consommant les produits ispric.
Dr Mohamed Gakou remerciera la presse qui relaie les informations de son institution permettant au public d’être à jour sur les activités de l’école située en domaine universitaire.
Pour le Mali , il reste confiant et déclare : ”Nous espérons avoir une année de paix , d’amour, de croissance et de performances. Que nous soyons épargnés des méfaits , difficultés et précipices empêchant l’émergence du pays pour que nous vivons dans un Mali réunifié et réconcilié. Ce qui nous pousse à prôner un BON et NOUVEAU Mali.”
IMPACTS CONSIDÉRABLES
Interrogé sur les incidences d’Ispric dans la société, le DG dira merci à ceux qui ont soutenu en 24 ans d’existence son administration. ” Nous restons sur notre dynamique et entendons cheminer de manière conviviale avec chacun de ceux qui croient en nous”.
Rappelant que son groupe universitaire comprend maintenant 3 pôles : l’école de business School, des relations internationales et de
Communication, il précise que les impacts sont pas des moindres car le lobby est très omniprésent à tel enseigne que près de 7 ans plus tôt, les 4 postes phares à pourvoir dans la fonction publique furent raflés par des diplômés d’Ispric.
L’adaptation pour être en adéquation avec l’emploi et la formation est un défi constant selon notre interlocuteur.
” Le monde de la communication fait beaucoup confiance en notre groupe d’où les collaborations avec divers organes de presse mais aussi le GPAC et la Maison de la presse. Ce qui permet à tous ces acteurs de comprendre les besoins ” selon Mohamed Gakou.
Enfin , il n’a pas manqué de situer qu’Ispric n’est pas limité à la théorie en ajoutant : ” Nous avons des studios de dernière génération et installons présentement un studio radio en plus d’avoir déjà des studios de production.”
Des cadres qui permettent aux étudiants de vivre les réalités des rédactions de presse et qui feront sûrement parler d’Ispric en 2023.
Keita Idrissa
Le Soft