Selon Daniel Pajank, économiste senior et coordonnateur de la Note sur la situation économique du Mali en 2023 « ces mécanismes peuvent fournir des financements opportuns et ciblés en réponse à un choc ou en prévision de celui-ci ; 15% de la superficie du Mali est parfaitement adaptée au financement et à l’assurance des risques de catastrophes basés sur un indice pour les éleveurs, tandis que 10% supplémentaires pourraient l’être après une analyse plus approfondie ».
Fanfan
L’Informateur